Tests

Batman Begins : une souris pas si chauve

Tiens ? Encore une nouvelle adaptation qui sort conjointement avec le film dont elle est le pendant vidéoludique. Alors même qu'on a toujours en mémoire un Catwoman plutôt moyen, pour ne pas dire médiocre, Electronic Arts récidive avec ce Batman Begins multi-plateformes dont on n'espérait donc pas grand chose. La surprise en est d'autant plus agréable.

Chrome : Specforce

Après Chrome, Techland nous remets ça sous une nouvelle sauce baptisée Chome : Specforce. Nouvelle ? Pas tout à fait puisque quelques éléments déja présents dans le premier opus se retrouvent dans cette suite. Bref, vous êtes un soldat des forces spéciales du 22ème siècle et vous menez à bien des missions top secret en plein territoire ennemi. Jusque là, ça va. Sauf que les lieux sont vastes et hostiles, les ennemis se planquent et visent bien. Dans tout ce beau bordel, un seul ami : votre armure. Avec des propriétés motrices, défensives, réparatrices, 13 armes, et 5 types de véhicules, on devrait en arriver à bout.

Conker : Live & Reloaded, le maxi best of

L'écureuil fou existe, il s'appelle Conker. Obsédé, alcoolique, vénal, grossier, la brave petite bête s'avère terriblement humaine. Ses regards pleins de malice, ses bonnes joues rebondies et sa fourrure soyeuse ne donnent que brièvement le change. Les décapitations, les gerbes d'hémoglobine et les jets de caca rappellent vite que ce titre moignon tout plein détourne allègrement les règles habituelles des jeux de plate-forme. Cette rébellion en forme de pied de nez s'avère savoureuse, à condition de supporter quelques défauts bien gênants.

7 Sins

L'été, c'est la saison idéale pour faire des rencontres. Ca tombe bien : 7 Sins ne propose que ça. Rencontres avec des maîtresses dominatrices, des stars peu farouches, et même des hommes ! Autant d'expériences à priori plus exaltantes que votre flirt saisonnier consommé en vitesse au bal musette de Trifouillis-Les-Bains. Hélas, il y a des jeux qui se comportent comme certaines allumeuses : après un premier contact stimulant, on constate un écart décevant entre promesses et voeux exaucés.

Pariah

Pariah. C'est un drôle de nom Pariah quand même. Qui c'est le Pariah ? Est-ce Jack Mason, le docteur, dont le vaisseau spatial s'écrase comme une fleur sur Terre alors qu'il accompagne une captive dans un centre de détention pour jeunes femmes romantiquement infectées ? Oui bien est-ce cette fille qu'il accompagne, que les autorités rejettent parce qu'elle pourrait contaminer la population galactique ? Ou encore le jeu lui-même, rejeté de la cour des grands fps pour son manque d'innovation ?

SWAT 4, le bras armé de la justice

Au premier abord, on peut penser que rien ne ressemble plus à une force anti-terroriste qu'une autre force anti-terroriste. On se trompe. Ainsi, il y a deux ans déjà, l'épris d'action et de justice qui sommeille en vous trouvait dans Tom Clancy's Rainbow Six 3: Raven Shield le shoot tactique de maintien de l'ordre. Alors, aujourd'hui, qu'attendre de SWAT 4, un soft qui joue dans la même cour ? Et bien bonne surprise, on peut raisonnablement avoir ces deux jeux sur notre étagère sans qu'ils se fassent réciproquement de l'ombre. En effet, si on retrouve le duo terroriste/otage inhérent au style de jeu, de gros éléments de gameplay séparent Raven Shield et SWAT 4. Voyons donc comment se place ce dernier face au simulateur de Clancy.

Tribune libre