Tests

Faux départ pour Universe at War

Edité par Sega, le second titre du jeune studio Petroglyph a bon nombre d'atouts en sa faveur. Tout d'abord, l'équipe créatrice compte dans ses rangs des anciens de chez Westwood. Ceux-là même ont posé les règles du genre RTS avec la sortie de Command & Conquer. Certes, Star Wars : Empire at War, leur précédent jeu, n'innovait en rien et sentait même la reprise de licence. Seulement, cette fois-ci, ils nous promettent trois factions extra-terrestres aux caractéristiques bien tranchées. Voyons cela de plus près...

The Club : "You have to fight"

Il a sans doute fallu à Bizzare Creation le succès de la console de Microsoft auprès d'un public de joueurs pour leur offrir la confiance commerciale qui leur permet aujourd'hui d'entretenir une créativité abondante (trois jeux en l'espace d'un an) sans jamais abjurer de leur héritage. The Club, au même titre que Project Gotham Racing ou Geometry Wars, dessine d'abord un projet de réhabilitation personnelle qui s'adresse à un public arithméticien.

Cooking Mama 2 : le festin pour tous

Référence en matière de jeu atypique, Cooking Mama 2 détient un énorme potentiel. Que ce soit sur Wii ou sur DS, ce titre exploite les capacités ludiques des machines sans faille. Son style rose bonbon et ses petits cœurs attire de plus la gente féminine. C'est alors en notre compagnie qu'elle parcourt ce nouveau volume de "La cuisine facile façon Nintendo". Aiguisez vos stylets. Prévoyez tout de même un casse-croute bien réel car la route vers l'excellence est longue.

B-17 Fortress in the Sky : débarquement raté

Sorti depuis plus de six mois aux Etats-Unis, B-17 Fortress in the Sky finit par arriver de nulle part en France pour le jour de la Saint-Valentin. Malgré la date ironique pour une simulation de guerre, l'apparition de B-17 dans la langue de Marion Cotillard n'a rien d'illogique pour un jeu dont l'action se déroule principalement en France, lors de la Seconde Guerre mondiale. Vous comprendrez toutefois, après quelques minutes de jeu, pourquoi les titres de Destination Software sont si peu nombreux à débarquer chez nous.

Burnout Paradise

Hors des sentiers battus

Difficile d'y échapper, c'est comme si un jour ou l'autre tous les développeurs devaient se confronter à cette question : faut-il faire tomber les barrières et proposer un jeu ouvert ? Choisir librement ses objectifs, se balader d'un lieu à l'autre selon son bon vouloir, dans la catégorie des jeux de course, Test Drive Unlimited l'a déjà fait. Mais vous imagineriez ça dans un Burnout ? Selon Criterion, ce serait la définition du paradis. Du coup, ils appellent ça Burnout Paradise. Prêts à prendre Saint Pierre en auto-stop et à lui procurer le grand frisson ?

Tribune libre