Attachez votre ceinture et faites chauffez la gomme, Midnight Club : Los Angeles vous invite à voyager dans la cité des anges à bord des plus luxueux bolides. Excès de vitesse, tuning et grosse monnaie s'entremêlent dans un jeu de course de haute voltige. Ça passe ou ça casse !
Joueurs et presse spécialisée ne sont pas toujours du même avis. C'était le cas par exemple pour Boogie, la simulation de danse et chant imaginée par Electronic Arts sortie l'année dernière. Avec Boogie SuperStar – une suite qui n'en est pas vraiment une – difficile de dire si l'éditeur ambitionne de réconcilier les deux. En tous cas, il n'a pas hésité à revoir sa copie. Au risque de rajouter des fautes là où il n'y en avait pas ?
Mount & Blade et Taleworlds vous souhaitent la bienvenue sur les terres ancestrales de Calradia. Cinq royaumes se disputent le territoire. Vous devez choisir un camp et prendre les armes. Voici votre guide, écoutez-le, il est de bon conseil : "Chevaliers, monte sor ton cheval seüremant, pran ton escu, ton cheval et ta lance, si joste a moi ! "
Opoona se présente comme une bouffée d'air frais. D'abord pour vous, puisque voici enfin le premier vrai jeu de rôle pour la console de Nintendo. Ensuite pour l'éditeur ArtePiazza, qui s'accorde une escapade bien méritée, après le reconditionnement à plein temps de la saga Dragon Quest sur DS. Deuxième expérience après le fabuleux Innocent Life chez Marvelous, Opoona continue le travail chez Koei. Obsession pour l'écologie, pour les univers futuristes et une manière de repenser les mécaniques d'un genre.
Avec son optique de renouveau, Electronic Arts propose un survival-horror dans la lignée de Resident Evil, atmosphère science-fiction en sus. Dead Space démontre que, dans l'espace, personne ne vous entend crier. Ni vous entretuer d'ailleurs. A croire que les étoiles sont les clous du cercueil.
La saga James Bond n'en est pas à ses premiers essais vidéo ludiques puisque plus d'une vingtaine de jeux ont vu le jour depuis le début des années 80. Sans grande surprise, Quantum of Solace, le dernier film de la série, se décline donc lui aussi en jeux vidéo. Dans la jungle actuelle des jeux à licences, le titre de Treyarch (studio ayant déjà adapté sur consoles plusieurs films à gros budgets comme Spider-Man 2) a d'emblée un atout de taille : la reprise du moteur de l'excellent Call of Duty 4. De plus, sur le papier, le jeu promet d'apporter un peu plus que de simples fusillades à la première personne. Si avec tous ces éléments aguicheurs, tuer n'est pas jouer...