N'ayons pas peur des mots : Power Stone est une des séries les plus méconnues mais également l'une des plus sous-estimées de l'histoire de la Dreamcast. Pour réparer cette injustice, Capcom sort une version PSP regroupant les deux volets. Les mauvaises langues diront que l'éditeur japonais surfent sur sa propre vague de remakes PSP (Ultimate Ghosts 'N Goblins ou Mega Man Maverick Hunter X entre autres). Si les septiques n'ont pas forcément tort, ils se privent malgré tout de deux reliques, idolâtrées par les nostalgiques de l'époque Dreamcast.
Pas impressionné par les Pro Evolution Soccer 6 et autres FIFA 07, un nouveau gladiateur entre dans l'arène impitoyable des jeux de foot sur console par la petite porte. Virtua Pro Football édité par SEGA tente de chasser dans les terres des deux ténors de la catégorie. Ses arguments de vente sont principalement un prix attractif, 30 €, et un tout nouveau mode de jeu "un contre un".
Le bruit de la tronçonneuse. Une gerbe de sang derrière un muret. Le crépitement des balles qui s'enfoncent dans les chairs. Quelques dents plantées dans le macadam. C'est un peu ça, Gears of War : des instantanés bien glauques, des flashs sanglants qui continuent d'éblouir, même une fois que la console est éteinte. Du brutal, du lourd, du clinquant, qui dessine les contours d'un jeu hors-norme, pas fin, pas exempt de défauts, mais sacrément impressionnant quand même.
Les parents du célébrissime GTA, Monsieur et Madame Rockstar, ont décidé de changer d'air. Fini pour un temps les grandes villes polluées. Fini la drogue et ses truands. C'est à coup d'élastiques et de tire-slips que vous, un rude boy, sévissez. Oui, c'est un mise au vert, alors n'oubliez pas votre casquette et surtout le lance pierres.
Baissez la lumière. Montez le volume. Sortez les guitares en plastique. Guitar Hero II arrive pour lacérer ce qui vous reste de tympans et pour faire de vos doigts des moignons. Harmonix et Red Octane ont tout réuni pour que la fête soit encore plus folle : plus de chansons, plus d'options, un mode coopératif d'enfer. Et quand la musique est bonne...
La série des Grands Bâtisseurs rendait déjà hommage à de nombreux personnages et époques de l'histoire. Entre Caesar IV, Pharaoh et Zeus, l'antiquité était déjà bien représentée. Ce style était une chasse gardée de Sierra Interactive, jusqu'à ce que le plus grand bâtisseur de tous les temps vienne s'y incruster. Firaxis surfe ici sur la licence des Civilization IV de Sid Meier, pour nous proposer un remake de Caesar, un mois à peine avant la sortie du quatrième opus de ce dernier. Voyons donc si ce remake arrive à la cheville de l'original, où s'il ne s'agit que d'une pâle copie.