La vie sur terre, c'est bien. Les usines, les autoroutes, la pollution... C'est un peu grâce à toutes ces belles inventions que les gens ont envie de partir, que ce soit à Bourg-en-Bresse pour les moins ambitieux ou dans l'espace infini pour les plus fous. En attendant de devenir astronaute, Project Sylpheed vous propose de découvrir un monde extraordinaire avec des nébuleuses, des explosions, des colonisations sauvages et de grands traits de laser lumineux. Project Sylpheed est plus qu'un jeu de combat spatial, c'est un véritable trip hallucinogène. L'ennui, c'est que ce bon petit jeu se résume presque uniquement à cette expérience visuelle.
Le gens de chez Milestone, depuis les lointains débuts du studio, créent de belles simulations : c'est un fait établi. En plus, ils se démarquent souvent de la concurrence en y adaptant des idées communes aux autres genres comme, par exemple, faire évoluer le pilote et non le véhicule, d'où une certaine collaboration avec Squaresoft. C'est maintenant en utilisant la licence du championnat mondial de Superbike que le studio vous propose ce titre très axé simulation. Encore du travail soigné ? A n'en pas douter. Mais quel est le point qui va sortir ce titre du lot ? C'est une question à laquelle les motards se doivent de connaitre la réponse.
Back Bone Entertainment récidive sur PSP après un premier Death, Jr. mitigé, tant par son intérêt que par sa réalisation (jeu qui fut d'ailleurs le premier officiellement annoncé sur PSP en 2004). Le segment du jeu de plates-formes sur la portable de Sony est très convoité et la concurrence y est rude (Dexter, Megaman, et bientôt God of War). Cette suite se doit donc d'être convaincante, si Konami veut se faire une place dans ce secteur, mais aussi pour la pérennité de sa licence.
Les amateurs de jeu de course sur 360 ont de quoi être aux anges en ce moment. A peine remis d'un Forza Motorsport 2 qui repousse les limites de la simulation qu'ils voient débarquer Colin Mcrae dans un véhicule magnifiquement crotté. Dirt apporte son style plus "arcade" avec pour toile de fond des paysages somptueux. Vous n'avez jamais eu autant de plaisir à vous rouler dans la boue.
Occulté par l'annonce du quatrième volet sur PlayStation 3 et la semi-déception causée par les épisodes Acid, Portable Ops ne partait pas du bon pied. Pourtant, Hideo Kojima veille et retrouver Snake une fois de plus prêt à lutter contre des méchants a de quoi enthousiasmer. Mais ici, il n'est pas seul. Ces retrouvailles "miniatures" amènent une question légitime : est-il possible de conserver un gameplay inchangé sur un format portable ?
Après un Lost in Blue plutôt réussi ou du moins capable de créer la surprise, Konami revient à la charge avec un deuxième épisode au nom aussi original que ses nouveautés : Lost in Blue 2. Cartographie de l'île différente, quelques actions inédites... Mais au-delà de ces aménagements, quelles réelles différences ? Pas grand chose à vrai dire, pas de quoi révolutionner le concept de Crusoé. Passage en revue d'un titre qui peine à survivre.