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Ankh 2 gagne le coeur d'Osiris

Il y a un peu moins d'un an, Ankh permettait de redécouvrir le genre point'n'click. Dans des décors égyptiens cartonnesques, son aventure loufoque vous emmenait à la rencontre de personnages hauts en couleurs. Hélas, son humour un peu timide et sa courte durée de vie ne font pas de lui un titre inoubliable. Il semble cependant que les développeurs souhaitent apprendre de leurs erreurs passées. C'est du moins ce qu'ils essayent de prouver avec Ankh : Heart of Osiris. Alors pari tenu ?

L'Entraîneur 2007 dans le ventre mou du championnat

Après le catastrophique épisode 2006, Beautiful Game Studio avait à coeur de modifier son schéma tactique et de proposer un jeu plus complet et mieux pensé. L'Entraîneur 2007 remet donc ça, moins de six mois après son dernier échec. Grâce à ses innovations sympathiques, cet opus 2007 semble sur les bons rails pour enfin intéresser les amateurs de management sportif.

Tony Hawk mène à bien son Project 8

Project 8, un drôle de titre tout de même. Tout d'abord, c'est la huitième itération de la série que livrent Activision et Neversoft. Il y a le eight qui sonne comme skate aussi. Mais ce qui fait de ce Tony Hawk un Project, c'est son gameplay censé retranscrire comme jamais les sensations de la planche à roulettes. La révolution a-t-elle eu lieu ?

Power Stone Collection fait d'une pierre deux coups

N'ayons pas peur des mots : Power Stone est une des séries les plus méconnues mais également l'une des plus sous-estimées de l'histoire de la Dreamcast. Pour réparer cette injustice, Capcom sort une version PSP regroupant les deux volets. Les mauvaises langues diront que l'éditeur japonais surfent sur sa propre vague de remakes PSP (Ultimate Ghosts 'N Goblins ou Mega Man Maverick Hunter X entre autres). Si les septiques n'ont pas forcément tort, ils se privent malgré tout de deux reliques, idolâtrées par les nostalgiques de l'époque Dreamcast.

Gears of War, le coup de crosse

Le bruit de la tronçonneuse. Une gerbe de sang derrière un muret. Le crépitement des balles qui s'enfoncent dans les chairs. Quelques dents plantées dans le macadam. C'est un peu ça, Gears of War : des instantanés bien glauques, des flashs sanglants qui continuent d'éblouir, même une fois que la console est éteinte. Du brutal, du lourd, du clinquant, qui dessine les contours d'un jeu hors-norme, pas fin, pas exempt de défauts, mais sacrément impressionnant quand même.

Tribune libre