Les deux éditeurs que sont Tecmo et Koei ont fusionné. Un de leurs premiers bébés est Undead Knights. Un titre qui ne laisse pas deviner qu'il s'agit d'un Dynasty Warriors-like. Alors que le commun des mortels pouvait s'attendre à un jeu dans la veine des Resident Evil, c'est bel et bien un beat them all qui vous attend. En revanche, si les ficelles sont tirées de la licence des Dynasty Warriors, l'univers est tout autre. Un changement bienvenu, qui surprend son monde et qui ajoute une grosse part de fun dans un genre que beaucoup pensent saturé.
Tiré du livre éponyme de Dmitry Glukhovsky, Metro 2033 vous plonge dans un Moscou ayant connu une catastrophe nucléaire. Développé par le studio ukrainien 4A Games, le titre risque de faire de l'ombre à leur précédent jeu, S.T.A.L.K.E.R., tant l'ambiance vous happe littéralement. Reste à voir si le gameplay suit. Réponse dans les quelques lignes – de métro – qui suivent.
Après un premier volet – exclusif à la XBox 360 et à la PS3 – plutôt réussi, le quatuor de Battlefield : Bad Company revient pour de nouvelles missions, et étend même son champ de bataille au PC. Et cette fois, les développeurs suédois de DICE se sont clairement inspirés de ce que proposait la concurrence, notamment du côté des FPS d'Activision. Ainsi, Battlefield : Bad Company 2 marche ouvertement sur les platebandes de Modern Warfare 2, et il le fait plutôt bien...
Il y a huit mois de cela, Star Ocean : The Last Hope sortait sur la console de Microsoft. Square Enix, laissait planer le doute quant à une sortie sur la PS3. Profitant d'une version « International », le jeu sort enfin pour ravir les fans, possesseurs de la console de Sony. L'espoir a grandi dans le cœur de ses aficionados, après une si longue attente, ils risquent fort d'être déçus.
Si Capcom a su créer des jeux de tirs à la troisième personne assez réussis (Lost Planet en tête), il leur arrive également de sous-traiter. C'est d'ailleurs le cas de Dark Void dont le développement a été confié au jeune studio Airtight Games. Le titre semble original sur le papier. Jugez plutôt : une ambiance rétro-futuriste, des combats a priori dynamiques... Bref, pas de quoi s'ennuyer. Et pourtant, si. Explications.
Tri-Ace n'est pas à la fête sur cette génération de consoles. Entre Infinite Undiscovery et Star Ocean : The Last Hope, il y avait de quoi s'inquiéter quant au savoir faire du studio sur les supports de salons actuels. Baptisé End of Eternity au Japon, Resonance of Fate marque un tournant pour le studio japonais : faisant habituellement confiance à Square-Enix pour ce qui est de l'édition, tri-Ace a cette fois-ci fait appel à SEGA qui serait "plus ouvert à l'originalité" (Takayuki Suguro, président du studio). Changement payant ?