Il faut le savoir, ou du moins être prévenu : Blue Estate est tiré d'une BD éponyme, qui mêle gros flingues, mafia, strip-teaseuses et détective privé. Le tout dans un grand mélange de n'importe quoi fidèlement retranscrit dans le jeu. Attrapez votre manette de PS4 : voilà, vous tenez entre les mains votre gros calibre, vous êtes prêt à tirer sur plusieurs centaines d'ennemis. Et à recalibrer tous les 10 tirs.
Rendez-vous galant en terre inconnue
Rendez-vous en terre inconnue. C'est ce que vous propose Lifeless Planet, un jeu d'action-aventure 3D développé par une toute petite équipe indépendante depuis près de quatre ans. Exploration, plateforme, énigmes et pas mal de mystère sont au programme de ce titre qui mérite clairement le voyage.
Après vous avoir fait parcourir Berlin dans tous les sens à la recherche de vos cibles, Rebellion vous propose de poursuivre votre aventure solitaire avec Sniper Elite III. Véritable référence en matière de snipe et d'infiltration, le jeu se permet le luxe d'une sortie nouvelle génération. Mais faut-il le garder dans le viseur pour autant ?
C'est la fin de l'humanité. L'armée des morts s'est levée et seuls quelques preux chevaliers, ou du moins mercenaires, osent encore lever l'épée à l'encontre de l'ennemi immortel. Escortant un groupe de mages en quête du pouvoir qui permettrait de repousser l'ennemi, vous attrapez votre arbalète, une épée lourde, une paire de petites lames et vos pièges explosifs (oui, vous êtes multitâche) et partez explorer Bound By Flame. Attention, vous risquez d'être refroidi.
Source inépuisable d'inspiration, les conflits mondiaux ont souvent servi de toile de fond au jeu vidéo. Mais il est très rare que le traitement de ce thème s'encombre d'un minimum de pédagogie. Avec Soldats Inconnus, l'éditeur mastodonte Ubisoft relève le défi en s'attaquant à la Grande Guerre. Quand plaisir de jeu s'associe à apprentissage et devoir de mémoire.
"Le fils prodigue", voilà comment pourrait être qualifié Watch_Dogs en observant la manière dont Ubisoft en a pris soin. Nouvelle licence, nouveau système de jeu, quatre ans de travail acharné de plusieurs studios Ubi : l'attente était énorme. Et comme dit l'adage, "l'attente c'est 50 % du plaisir". Est-ce que les 50 % restants sont bel et bien dans le jeu ?