Avec Rayman Origins, Ubisoft et Michel Ancel espèrent remettre sur le devant de la scène un héros particulièrement discret ces dernières années : Rayman. Il faut dire que le bonhomme à la chevelure ressemblant à une peau de banane s'est quelque peu fait chiper la vedette par ses Lapins Crétins, surtout auprès des joueurs occasionnels et du jeune public.
Quatrième volet d'une série de plus en plus populaire et accomplie, Assassin's Creed Revelations vous propose de rempiler une troisième fois avec ce cher Ezio Auditore da Firenze. Les cheveux et la barbe grisonnantes, le visage marqué par le temps, c'est un Ezio sage, réfléchi, déterminé et bien loin du jeune homme impétueux qu'il était autrefois que vous incarnez ici. Parti pour un ultime voyage, ce dernier a quitté sa terre natale afin de retrouver les traces de son ancêtre Altaïr, légende incontestée des assassins. Laissez donc de côté l'Italie, et embarquez pour Constantinople, ville aux milles bazars, où l'ennui est mis au placard.
Vous savez que vous êtes vieux quand les joueurs de moins de vingt ans n'ont aucune idée de ce que représente l'île de Vvanderfell ou de ce qu'est un put*** de Cliff Racer. Ces chères têtes blondes ont grandi avec le très "next gen" Oblivion qui, malgré sa grande liberté, peinait à être intéressant. L'annonce d'un cinquième épisode pose alors un dilemme au vieux con qui sommeille en nous : renâcler le passé ou embrasser le changement ? Penchons-nous ensemble sur la réponse.
Précédé d'une campagne promotionnelle d'envergure, le titre du duo Dice/Electronic Arts était très attendu par les joueurs, mais aussi par la critique. Grâce aux précédents volets, la série des Battlefield est parvenue à se faire sa petite place dans le monde foisonnant des FPS, surtout grâce au développement de son mode multijoueur mettant l'accent sur la coordination d'équipe et l'utilisation de nombreuses armes et véhicules. D'autant plus attendu que ce Battlefield 3 affiche de hautes ambitions et la volonté de s'imposer parmi les nouvelles références du genre. Verdict.
En 1995 sort le film GoldenEye, première apparition de Pierce Brosnan en James Bond. Deux ans plus tard, la talentueuse équipe de Rare l'adapte sur Nintendo 64 et lui offre une nouvelle dimension. Le jeu sort aux débuts de la console en Europe et, jusqu'à la mort de celle-ci, il va rester LE jeu de tir subjectif culte et admiré par tous. Après une adaptation sur Wii en 2010, ce hit débarque aujourd'hui sur consoles HD sous le nom de GoldenEye 007 Reloaded.
"Cent fois sur le métier remettre son ouvrage". C'est probablement ce que doit se dire Ubisoft avec la série Motionsports. Non content de son premier essai pré-Kinect, sorti un peu précipitamment pour accompagner la caméra de Microsoft, l'éditeur remet le couvert avec Motionsports Adrenaline, une version plus extrême et surtout mieux optimisée de son simulateur de sports en... salon.