Attendu par des millions de fans, le dernier Metal Gear Solid réserve une fois de plus son lot de surprises. S'il serait coupable de dévoiler les rebondissements d'un scénario surprenant, et fastidieux d'énumérer toutes les gâteries que le jeu réserve, retenons simplement ceci : Metal Gear Solid 3 est un jeu d'infiltration atypique qui ne risque pas de faire l'unanimité. Tant mieux, en un sens, en ces temps où la qualité d'un titre est trop souvent établie bien avant sa sortie.
Lors de l'annonce de Brothers in Arms, un FPS plutôt réaliste se déroulant pendant la Seconde Guerre Mondiale, on pouvait à raison s'attendre à ce que ce soit un énième clône de Medal of Honor ou de Call of Duty, à savoir des jeux hautement scénarisés et hautement dirigistes dans lesquels on combattait invariablement les méchants Allemands et les méchants Japonais. Et bien justement, non, Brothers in Arms se fait un devoir de se distinguer de la bande, avec les honneurs.
Dix ans après la sortie du premier épisode de la saga King of Fighters sur NeoGeo, SNK Playmore nous propose sur PS2 une petite compilation des éditions 2000 et 2001 de son célèbre jeu de baston 2D. Alors, heureux ?
TimeSplitters 3 : Future Perfect, c'est une petite merveille à laquelle tout amateur de FPS doit goûter. Du rythme, de l'action, des graphismes soignés et une prise en main sans faille : ce petit mélange de réussite atteint presque la perfection. Le mode solo est truffé de bonnes idées, tandis que le multi, loin devant les autres FPS console, apporte une durée de vie sans fin à ce titre léché. Une réussite du genre, d'autant que les membres du studio Free Radical sont ceux à qui l'on doit le mythique Goldeneye, sur N64.
Un Painkiller, de l'autre côté de l'Atlantique, c'est un calmant. Sauf que là, ce Painkiller Black Edition nous vient tout droit de la Pologne, et que c'est tout sauf calme. Entre monstres à gogo, multijoueur qui va à la vitesse de la lumière, et making-of longuet, voici le portrait d'une édition collector qui vous fera oublier celle de Ghosts of Mars.
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UnexpectedGuest
Un peu marre des Terres du Milieu ? Envie de fracasser de l'orc, mais du vrai, celui estampillé Made in Royaumes Oubliés sur la fesse droite ? Vous avez alors sûrement noté sur votre liste d'achats Forgotten Realms : Demon Stone, pour hacker et slasher au pays de Dongeons et Dragons. Seulement voilà, un doute persiste. Est-ce une bonne idée ? La licence prestigieuse est elle garante de fun et de qualité ? Ne bougez plus, la réponse est ici.