Street Fighter 6 arrive avec deux missions et non des moindres. La première, c'est de redorer le blason de la série après un cinquième épisode ayant bénéficié d'un lancement chaotique – mais qui s'est refait la cerise au fil du temps. La seconde, plus importante et allant de pair, c'est de donner un second souffle à un genre en perdition depuis des lustres ; puisqu'en dehors de Dragon Ball FighterZ et Mortal Kombat, la baston peine à briller aux yeux de tous. Convaincre les compétiteurs mais aussi le grand public : l'objectif semblait inatteignable, mais avouons que la hype entourant Street Fighter 6 ces dernières semaines nous a donné de l'espoir.
Cthulhu-mentaire mon Sherlock !
Avec Sherlock Holmes : The Awakened du studio Frogwares Ukraine, vous vous glissez dans la peau d'un des meilleurs enquêteurs de Londres, créé par Sir Arthur Conan Doyle, afin d'élucider des mystères qui pourraient vous faire sombrer petit à petit dans la folie. Ce qui n'est pas sans rappeler le monde horrifique de H.P. Lovecraft.
Arrache-toi le cœur ! Répands ton sang !
La religion c'est bon, mangez-en. Avec une tronçonneuse dans les dents par exemple. Le corps léché par le lance-flammes affectueux d'un Space Marine purificateur. Au son râpeux de punchlines dignes d'un Duke Nukem. Warhammer 40,000 : Boltgun est de sortie et attention, ce boomer shooter va faire saigner vos yeux avec ses graphismes à l'ancienne, quand Internet se pratiquait en 56k (max) sur du US Robotics.
Le contre Uno de la déprime
Iris and the Giant est un jeu indépendant français développé par Louis Rigaud et édité par Goblinz Studio. Ce mélange de roguelike, de RPG et de jeu de cartes permet de découvrir l'histoire émouvante d'une jeune fille.
Tiens, encore un jeu avec des zombies ! Dans Dead Island 2, vous incarnez le survivant d'un crash aérien qui cherche à fuir l'apocalypse zombie. Problème : les habitants de Los Angeles que vous croisez sont plus tarés les uns que les autres.
Le bonheur tient presque dans 200x112 pixels
Ha ! Les bons souvenirs des jeux de plateforme narratifs d'antan, dotés d'une gestuelle si réaliste avec quelques pixels seulement... Lunark pioche allègrement dans cette délicieuse époque pour nous proposer une aventure épique, entrecoupée de cutscenes qui auraient fait le bonheur des joueurs Megadrive. Et c'est l'occasion de découvrir un fait scientifique : notre cerveau occulte les souvenirs douloureux. Car oui, à l'époque, la terrible mécanique du die & retry faisait foi et naturellement, Lunark n'y coupe pas. Aïe aïe aïe, est-ce qu'en 2023 cette sauce n'a pas légèrement tourné ? Voyons voir cela...