Annoncé comme le "tueur de Diablo", autant dans son gameplay que dans ses graphismes, le nouveau jeu de Chris Taylor (le créateur de Total Annihilation) avait tout l'air d'être ce qu'on en annonçait. L'est-il ? L'est-il pas ? Plus de détails après le lien...
Sorti il y a bientôt 4 mois, Etherlords, développé par Nival et édité par Fishtank, est passé assez inaperçu. Pourtant ce jeu réunit deux concepts qui ont tout pour plaire aux joueurs. Le côté gestion et collecte de ressources avec balade au tour par tour sur une carte tactique est tout droit hérité de Heroes of Might and Magic. Les combats quant à eux se déroulent à la façon d'une partie de cartes Magic. Dans le concept, Etherlords ne brille donc pas par son originalité, il pourrait même n'être qu'une copie sans saveur et en 3D d'Heroes of Might and Magic. Il n'en est heureusement rien car Etherlords a tout d'un grand jeu et vous allez découvrir pourquoi.
D'abord sorti sur Dreamcast, puis sur Playstation 2 et, finalement, sur nos bien chers PCs, Grandia II est ce qu'on peut appeler un clone de Final Fantasy, à peu près – sous-entendu : on y trouve tous les avantages et inconvénients d'un Final Fantasy : une histoire bien ficelée et prenante, des sorts de-la-mort-qui-tuent, de la monotonie, et des niaiseries typiquement japonaises.
Sorti l'année dernière, Serious Sam premier du nom fut un véritable OVNI vidéo-ludique, avec un cocktail d'action pure et d'humour beauf qui avait tout pour plaire. Ce jeu marqua d'autant plus les esprits qu'il disposait d'un remarquable moteur graphique capable d'afficher des décors étendus et un nombre incalculable d'ennemis à l'écran. La sortie de ce second volet nous permet de remettre ce moteur sur le devant de la scène et de reprendre les aventures de Sam là où la bande des talentueux développeurs de Croteam les avaient laissées.
La fin de l'année et son cortège de bonnes choses : Noël, sa dinde fourrée aux marrons, son sapin, ses boules, son papa Coca-Cola, sa crise de foie et son FIFA. Fidèle à une tradition qui risque fort de devenir séculaire, Electronic Arts nous sort tous les ans son pack jeux de sport. Sports débiles et incompréhensibles pour les Ricains (sauf le basket, non pas taper), jeu de balle noble et tactique pour la vieille Europe, l'ambassadeur du sport, du collectif et du don de soi...le foutchebol.
On a beaucoup entendu parler d'Evil Twin avant sa sortie, des screenshots alléchants, un monde apparemment très dépaysant pour un concept somme toute assez nouveau, le jeu de plate-forme/aventure. Edité par Ubi Soft, un cador du jeu de plate-forme 3D sur PC (avec l'excellent Rayman 2 et le très moyen Tonic trouble) et développé par le studio In Utero plutôt novice en la matière, ce jeu était sur le papier un hit en puissance avec son monde à la fois étrange et merveilleux et son gameplay original mêlant des séquences plates-formes à des phases de recherche et de réflexion. Sur le papier, oui, car dans les faits il s'avère que notre malheureux Evil Twin s'est embarqué dans un ratage en règle. Explications.