Débutée sur PC l'an dernier, l'épopée du FPS historique Call of Duty débarque maintenant sur consoles avec Call of Duty: Le Jour de Gloire. De la Russie à l'Afrique du Nord, Call of Duty va vous entraîner dans des missions variées rythmées par les explosions d'obus et le sifflement des balles autour de vous. Le challenge est de taille pour Activision : adapter sur consoles un titre à l'ambiance prenante et au gameplay efficace. Pari tenu ? Attrapez votre fusil de guerre pour le savoir !
Si vous pensez qu'un bon jeu de voiture doit être une ode au réalisme, passez votre chemin et allez plutôt voir ceci. Mais si ce qui vous éclate c'est foncer à toute allure sans vous soucier de la pression de vos pneus ou du réglage de vos suspensions, alors ce test devrait vous intéresser.
Écrit par
UnexpectedGuest
Electronic Arts n'a pas négocié les droits de la célèbre trilogie de Tolkien pour rien, et après deux Beat them all assez réussis (Les deux Tours et Le Retour du Roi), c'est un RPG au tour par tour qui pointe son nez, Le Tiers Age. Malgrè un style de jeu assez différent donc, vous vous dites "Et nous voilà repartis sur les traces de Frondon et de son anneau de malheur...". Oui, tout le monde aurait eu le même réflexe, et aurait fait tout faux.
Oubliez les contes des mille et une nuits, les voiles diaphanes et les somptueux palais de Maharadjas : le nouveau Prince of Persia fait table rase du passé et impose une nouvelle ambiance, sombre et oppressante. Le virage est aussi inattendu que déroutant, entre décapitations au ralenti et râles inquiétants. Il donne toutefois un nouveau souffle à cette suite qui ne se repose pas sur les lauriers acquis mais qui prend le risque d'innover. Ca plaît ou ça ne plaît pas, évidemment.
Dans la vie d'un joueur, il y a les grandes étapes qui marquent incontestablement la vie ludique, des souvenirs forts qui endurcissent. Le premier jeu en vue subjective, le premier jeu de course, le premier jeu d'aventure et la première grande humiliation, quand on se fait sniper par un buisson pour avoir gambadé joyeusement à découvert. Si vous n'avez pas encore vécu ça, lisez ce qui suit, vous allez vite comprendre.
Ceux qui ont acheté l'EyeToy s'en sont mordu les doigts : après s'être amusés à gesticuler bêtement devant leur cyclope favori, il n'avaient plus de bons titres à se mettre sous la dent. Quelques fonctions anecdotiques dans les jeux de skateboard ou de sorciers binoclards plus tard, l'EyeToy a enfin quitté les placards pour retrouver sa place initiale. Séchez vos larmes, mettez du déodorant : grâce au petit dernier de Sega, l'EyeToy retrouve un second souffle.