Blazko le barjo n'a pas fini le boulot
Trois ans après près un New Order nerveux et bienvenu, Machine Games et Bethesda remettent le couvert avec Wolfenstein II : The New Colossus. Comme le bruit sourd du marteau sur le métal chauffé à blanc, Wolfenstein tape fort et nous démontre une nouvelle fois que le FPS n'est pas si stupide. Humour politique, références historiques et dézinguage de nazis s'allient parfaitement dans ce nouvel opus.
La Terre du Milieu : L'Ombre de la Guerre nous replonge dans la peau de Talion, alors que celui-ci la partage déjà avec Celebrimbor. Si le premier jeu avait su séduire, Monolith Production a aussi pas mal de boulot pour proposer une œuvre à la hauteur de ce que le maître écrivait. Et Talion pourrait bien prendre une tôle(kien) si cela n'est pas fait.
Quand l'intérêt joue les filles de l'air
Annoncé en 2012 par l'équipe suédoise de Forgotten Key, AER a depuis pris des airs d'Arlésienne. C'est finalement la Gamescon 2017 qui a permis au titre de refaire surface, grâce à une démo jouable remplie de poésie et de charme. Mais faut-il se laisser ensorceler pour autant ?
Du fun et c'est déjà beaucoup !
Agents of Mayhem est un pari terriblement risqué. Dans l'esprit, il s'agit d'un spin-off et d'une suite déguisée au très drôle Saints Row IV, dernier gros jeu en date de Volition. Mais jusqu'à quel point le titre s'inspire-t-il de la série à succès du studio ? Et surtout, le changement de nom était-il vraiment nécessaire ?
Un classique enfin maîtrisé
La licence Sonic est l'une des plus adulées par toute une génération de joueurs, mais aussi une grande source de déceptions. À l'annonce de Sonic Mania, bon nombre d'entre vous se sont donc demandé à quel point le jeu pourrait être loupé, tout en espérant secrètement retrouver le plaisir du premier volet sur Mega Drive. Alors, entre abus de vitesse ou abus de confiance, à quoi faut-il s'attendre ?
The Evil Within est probablement l'un des meilleurs survival-horror de ces dernières années. Néanmoins, l'aventure et son concept narratif pouvaient se suffirent à eux-mêmes. La question était donc de savoir si The Evil Within 2 allait parvenir à justifier son existence.