Après avoir pu mettre nos serres sur la manette pour tester six missions de Chicken Run : Eggstraction (Commandodu en VF), on ressort avec un large sourire... et l'envie de vous en parler. Fidèle à notre habitude, on vous livre ici nos premières impressions, encore toutes chaudes, sur ce retour inattendu mais ô combien réjouissant de la bande de poules la plus culottée du cinéma d'animation.
Dans un paysage vidéoludique saturé de jeux de guerre, rares sont ceux qui osent adopter le regard des survivants. C'est justement la promesse de Fatherhood, un titre encore en développement et qui prépare sa campagne Kickstarter. Nous avons pu découvrir une première version du jeu, et il nous tardait de partager avec vous nos impressions sur cette expérience déjà marquante, où la survie se joue autant dans les ruines que dans le lien fragile entre un père et sa fille.
Lancé en 2006, Gears of War a marqué au fer rouge l'ère Xbox 360. Avec son système de couverture révolutionnaire, ses visuels alors époustouflants et son ambiance brute, la série d'Epic Games (eh oui !) a redéfini les codes du TPS moderne. Quinze ans et plusieurs suites plus tard, Microsoft et The Coalition reviennent aux origines avec Gears of War : Reloaded, un remaster du tout premier épisode. Une bonne occasion de (re)découvrir ce classique ?
Une transhumance vers l'espoir
Dans un monde fatigué, Herdling propose une bouffée d'air frais – sans mots, mais avec des émotions qui débordent. Vous commencez allongé sur un matelas, probablement SDF, dans un tunnel urbain sombre et oppressant. Très vite, un premier calicorn vous rejoint, petit animal au charme étrange, entre chèvre et licorne, le museau curieux et l'œil déjà tourné vers la liberté. C'est le début d'un voyage en duo, puis en troupeau, aux contours intimes et généreux.
Furtif, fin et franchement beau
Eriksholm : The Stolen Dream accroche dès les premières minutes. Est-ce l'ambiance industrielle aux teintes chaleureuses ? Le regard inquiet d'une adolescente face à une autorité bien trop envahissante ? Ou peut-être cette sensation d'entrer dans un monde soigné, dense, où chaque détail compte ? Vous ne savez pas encore où vous mettez les pieds, mais vous savez déjà que vous voulez avancer. En silence. Découverte d'un jeu d'infiltration visiblement à la hauteur de ses ambitions.
La hotline du chaos super-héroïque
Imaginez un ancien super-héros reconverti dans la gestion de crise, vissé à son bureau, casque sur les oreilles, prêt à coordonner une équipe de redresseurs de torts plus ou moins fiables. Dans Dispatch, vous incarnez Robert Robertson — alias Mecha Man — contraint de prendre sa retraite après une panne définitive de son mecha suit. Désormais, il gère les appels d'urgence au SDN, le Superhero Dispatch Network, en dispatchant les missions vers ses anciens ennemis... devenus collègues. Premières impressions sur ce jeu au pitch improbable, à la DA au poil et à la narration visiblement de haute voltige.