Un an et demi après sa sortie sur PC, Monster Hunter World se voit gratifié d'une extension et pas des moindres puisqu'il s'agit de Monster Hunter World : Iceborne qui propose de parcourir une toute nouvelle zone complètement givrée ! Alors pour une quarantaine d'euros, on est en droit de se demander si ce super DLC vaut le coup.
Au milieu de la pléthore de jeux indé qui utilisent une direction artistique poétique et épurée pour camoufler un budget serré, Lost Ember semble se poser un peu là. Et il faut bien avouer que les premiers quarts d'heure de jeu ne poussent pas vraiment à revoir cet a priori. Mais s'il y a bien un seul intérêt aux a priori, c'est de nous permettre de nous exercer à les dépasser. Ainsi, la première production du studio allemand Mooneye se laisse apprivoiser lentement mais sûrement, à l'image de l'animal sauvage que vous y incarnez.
Season Pass, Saison 1 : la revanche ?
GRID sort sa première saison du garage en ajoutant un circuit (Paris), 30 épreuves, 3 Showdowns et 4 voitures. De quoi redorer le blason d'un jeu qui s'était pris quelques murs de mauvaises notes à sa sortie en octobre 2019. Joueurs et journalistes lui reprochaient trop peu de circuits, trop peu de voitures, un mode Carrière anémique, bref, une radinerie qui contrastait avec son prix de lancement : 60 € pour la version de base, 90 € pour l'Ultimate Edition avec son Season Pass. Sans parler de la compétition féroce sur le créneau des jeux de course arcade. Entre l'arrivée bienvenue de cette première saison et les soldes, il est temps de soulever à nouveau le capot pour un contrôle technique.
La compilation Shovel Knight : Treasure Trove ressort quasiment trois ans après sa première édition. Lorsqu'elle regroupait trois jeux en un, on s'extasiait devant tant de générosité ; que dire maintenant lorsque ce ne sont pas moins de cinq jeux ? Puisque vous connaissez déjà Shovel, Plague et Specter Knight, allons à l'essentiel : découvrons King et notamment l'attendu Showdown.
The Monkey King : Hero is Back a une histoire pour le moins intéressante, puisque le jeu est l'adaptation d'un film d'animation de 2015 qui a eu un succès sans précédent sur le continent chinois. On peut se demander pourquoi une telle adaptation a mis plus de quatre ans à voir le jour. Le jeu fait partie d'un programme signé par Sony, le China Hero Project, afin de mettre en lumière certains jeux et éditeurs chinois. Pourtant le jeu arrive chez nous en étant distribué par THQ Nordic. Un parcours de vie pour le moins original pour un jeu surprenant.
Ambitieux, trop ambitieux
Dans le futur de Terminator : Resistance, l'intelligence artificielle Skynet commence la fabrication des premiers assassins cybernétiques à apparence humaine, les T850. Leur but ? Infiltrer les poches de résistance sans se faire repérer. C'est ce que Terminator : Resistance essaye de faire avec la ludothèque des joueurs, en copiant des jeux de rôle comme Fallout 4 et des FPS comme Battlefield V, rien que ça – mais avec un centième de leur budget. La comparaison avec les tauliers du genre va ruiner cette tentative, brûlant des tissus humains trompeurs pour révéler un endosquelette trop robotique et des microprocesseurs rudimentaires.