Rarement un titre de preview n'a été plus exact. En effet, les petits amis de RockStar San Diego nous ont fait vibrer en "hands off". Autrement dit, nous n'avons pas pu appuyer sur les touches pour faire vivre notre cowboy John Marston. Mais bon Dieu, ça roxx du poney!
La guerre fait rage dans le monde des MMO RPG entre les géants de World of Warcraft et d'EverQuest. Mais des petits nouveaux comme Aion ou encore les outsiders comme Vanguard : Saga of Heroes et Age of Conan essayent de se faire une place au soleil. C'est donc au milieu de cette mêlée composée de barbares, de magiciens et de démons que les super héros de Champions Online poussent eux aussi du coude. Alors, les X-men officieux font-ils le poids fasse à Arthas & Co?
Dans l'ombre du premier épisode, l'arrière goût général d'un « très-beau-jeu-répétitif » plane sur la capuche d'Ezio. Nous promettant monts et merveilles, Ubisoft nous a laissé près de trois heures manettes en main pour avoir un large, mais néanmoins réel, avis sur l'avancée d'Assassin's Creed 2. Est-il plus somptueux ? Encore plus maniable ? Enfin diversifié ? Trop de questions tuent la question, place au concret.
Activision remet le couvert avec ses hommes en collants et ses femmes toutes de cuirs vêtues grâce à Marvel : Ultimate Alliance 2 : Fusion. En mal de castagne les super héros Comics vont poutrer du vilain jusqu'à quatre dans un brouhaha toujours aussi hack'slash. Cependant quelques efforts ont été fournis pour nous faire passer de bonnes heures. Les petits ajouts présents sont pour le moins très sympathiques. Qui a dit que désormais le 25 septembre est le jour des (Z)'héros ?
Le dogfight, genre immaculé par une caste restreinte de joueurs, se lèche les babines à la venue d'un petit nouveau sur le marché des consoles de salon. Enfin nouveau, tout est relatif, la licence existant depuis 2001 sur PC. Loin du simple Tom Clancy's HAWX d'Ubisoft, IL-2 Sturmovik : Birds of Prey risque de plaire aux chevronnés de la Seconde Guerre Mondiale, tout en faisant réfléchir les aventuriers perdus du manche à balai. Ignition !
Rarement une licence nous aura autant retourné. Pendant plus de trois heures, Batman : Arkham Asylum a déployé ses ailes de chauves-souris, nous laissant entrevoir des rêves de beauté, de pluralité, de longueur et de défis dans un univers Comics charismatique au possible. Laissez vous guider dans l'obscurité par Adyman, corps en latex et abdos bétonnés en sus (NDRC : Frimeur !).