Ca ne sera certes pas la première fois que Valve et son éditeur se contredisent à propos de leur jeu phare Half-Life 2, mais à ce train là, certains joueurs vont commencer à se demander s'il ne s'agit pas tout simplement d'un vaporware. En effet, alors que Valve faisait le point sur les différentes versions de HL² il y a de cela quelques jours, il semblerait que Vivendi, pour sa part, n'ait annoncé que deux versions aux commerçants, comme le signale l'un des dirigeants du site de vente en ligne Gameplay dans un post sur HalfLife2.net. Ainsi, VU Games n'aurait pas mentionné la version "light" dans ses communiqués, annonçant même qu'il n'y aurait "que deux versions" pour Half-Life 2. Il est cependant important de noter que l'éditeur ne parle que de ce qui sera distribué sur le marché Américain, et que Half-Life 2 light n'est pas initialement prévu pour une revente des boutiques spécialisées. Mais qui vivra verra.
La démo de Devil Whiskey disponible sur son site officiel a de quoi dépayser tout joueur contemporain de jeu de rôle électronique : après une vidéo d'introduction très cheap mais en même temps dotée du genre de charme que peut avoir aujourd'hui une version VHS de Conan le Barbare, on découvre une interface qui s'utilise entièrement au clavier – point de pointeur visible à l'horizon. Si la prise en main est laborieuse pour l'habitué du point'n click, on prend un certain plaisir à naviguer en Qwerty dans le texte des divers menus, jusqu'au moment de voir apparaître une image qui a l'air en 3D de l'intérieur d'une taverne. Après avoir compris comment recruter un aventurier, c'est le grand départ... et après le premier (long) dialogue, on a l'occasion de lire qu'un combat approche, et lorsque l'on lance l'attaque, quelle n'est pas la surprise de voir que tout se résout en mode texte. Anachronique, Devil Whiskey l'est clairement, mais comme une imitation d'un vieux meuble de renom, il n'est pas dépourvu de charmes apparents.
Dans une interview sur le site tchèque Doupe.cz, Mark Spanel, le président de Bohemia Interactive vient de filer un sale coup au moral des fans de FPS "tactique et réaliste" : Operation Flashpoint 2, la suite de leur méga-hit, ne sortira pas avant 2005. Selon lui, vu l'ampleur du projet, ils n'arriveront tout simplement pas à finir le jeu pour l'année prochaine. Peut être le temps pour Söldner: Secret Wars de se faire une petite place au soleil ?
La N-Gage, c'est la console portable que Nokia souhaite lancer avec le soutien de quelques grands éditeurs bien connus des joueurs. C'est aussi un téléphone portable ainsi qu'un baladeur radio et MP3, pour ceux qui aiment le tout intégré. Mais ce sont ses performances techniques largement supérieures à celles d'une Game Boy Advance qui font de la N-Gage une console prometteuse. Ce n'est pas tous les jours qu'on peut mettre une PlayStation dans sa poche ! Voici nos premières impressions sur ce petit monstre qui ose défier les ogres Nintendo et Sony.
Pour en savoir plus, [url=_self,http://www.gamatomic.com/ga/articles.aspx?tx_id=299"][b]cliquez ici[/b][/url].
X² – The Threat s'affiche une nouvelle fois avant sa sortie le mois prochain. Cette simulation spatiale ne tient évidemment pas la comparaison avec un Homeworld 2 car entre un simplement joli et un particulièrement splendide, il y a plus d'un pas que l'on ne peut pas franchir aisément. Cela dit, attention : le gameplay de X² pourrait très bien surprendre.
Dans les mois qui viennent, Nobilis ne va pas seulement se charger de distribuer le jeu de la Star Academy, mais aussi Desert Rats vs. Afrika Korps, un RTS qui sent bon le sable chaud. Si on ne sait encore pas grand chose sur les qualités qui pourraient faire la différence avec les ténors du genre, une vidéo permet de juger d'un niveau graphique plutôt encourageant : les variations d'un environnement basique pourtant très minéral, les unités (les jeeps et autres chars d'assaut notamment) sont parfaitement identifiables et, côté moteur physique, le réalisme des déplacements semble participer à une immersion appréciable (un char peut logiquement écraser un arbre par exemple).
Une grosse vidéo (97 Mo...) de The Bloody Magic est disponible sur le site officiel. Pendant 3 minutes on est témoin d'une succession quasi ininterrompue de jetage de sorts en tous genres (principalement de la catégorie qui fait bobo). Ce qui est plutôt normal puisque dans ce hack'n'slash de Sky Fallen il n'y aura qu'une seule classe de perso, le magicien, qui sera disponible en 12 saveurs (écoles de sorts) différentes. Pour le reste, on est en terrain connu, avec la jauge de vie (rouge) à gauche, celle de mana (bleue) à droite, et des monstres équarris par dizaines. Et même pour les fans du genre, 97 Mo c'est bien cher payé pour voir une vidéo un chouia répétitive ou pour admirer un moteur qui a l'air bien, mais pas top.
Techland pense aux fanas d'images que nous sommes tous et propose, via le site officiel du jeu, une série magnifique de wallpapers de Chrome. Ces packs inclus 26 visuels (1024x768) des différents éléments qui composent ce FPS polonais : personnages principaux, paysages, véhicules et ennemis.
Lords of EverQuest s'illustrent aujourd'hui avec 7 nouvelles images qui nous permettent d'admirer (ahem) le moteur graphique propriétaire du jeu de très (trop) près. Rappelons que ce RTS se déroulant dans l'univers d'EverQuest empiète directement sur les terres de WarCraft III, avec son petit côté RPG (les Lords pourront gagner de l'expérience et utiliser des items, comme les héros de Blizzard), ses trois factions et son gros côté RTS (ressources, construction...). La limite de population devrait par contre être plus important que dans War 3, avec environ 200 unités par camp, dont certaines pourraient être présentes aux côtés des héros d'une mission à l'autre.
Lords of EverQuest est toujours prévu début novembre par chez nous.
Les survival horror sont suffisamment rares pour qu'on ne passe pas à côté, qui plus est lorsqu'il s'agit d'une production française. L'équipe d'Hydravision bûche actuellement sur Obscure : Learn about Fear, l'histoire d'une bande de lycéens confrontés à des êtres maléfiques. Ok, une telle présentation présage plus d'un Club des Cinq pour post-ados que d'un jeu réellement flippant. Mais l'expérience des développeurs en univers malsains (Hydravision produit aussi des magazines aux noms évocateurs : Zombies, Momies, Os et Cultes...) devrait largement éloigner Obscure de la Bibliothèque Verte.