La démo d'Astérix & Obélix XXL 2 vient de débouler et confirme brillamment les bonnes impressions que nous pouvions avoir sur la bête : ça bouge bien, c'est rythmé, c'est plutôt joli et c'est surtout superbement emballé dans un second degré très inspiré permettant de retrouver des icônes du jeu vidéo comme on ne les avait encore jamais vu... Il suffit de regarder l'intro et ses dialogues aiguisés en tous points fidèles à la qualité de ceux d'Uderzo et Goscinny pour en être convaincu. A essayer d'urgence donc. Seul bémol : les contrôles de ce jeu d'action-aventure apparaissent un poil rigides avec un clavier. C'est donc sur PS2 que le titre d'Etranges Libellules devrait prendre toute son ampleur.
Cette démo donne accès à trois niveaux du jeu complet – entre exploration, castagne et énigmes – dans lesquels vous aurez l'occasion de croiser des personnages célèbres à une sauce romaine du meilleur goût. Chaque niveau se parcours en temps limité offrant un rythme soutenu à la progression. Impossible de s'ennuyer.
Les petits gars de CroTeam savent parfaitement ce qu'est un moteur optimisé et la démo de leur prochain jeu,Serious Sam II, en est la preuve parfaite. D'ailleurs, quand on voit qu'avec 250 Mo ils parviennent à faire graphiquement bien mieux que les 650 Mo de la récente démo d'Earned in Blood, on mesure à quel point leur maîtrise du code est prononcée.
Dans cette démo – comme dans tout le jeu – il est toujours question de shoot pur et simple (en solo et en multi par 4), au beau milieu d'environnements encore plus agréables et variés que ceux du premier épisode. Très fun, très défoulant, d'après cet aperçu Serious Sam II devrait confirmer de belle manière les qualités basiques de cette série. Rendez-vous le 14 octobre pour la sortie du jeu complet sur Xbox et PC.
Earned in Blood, la suite de Brothers in Arms (lire le test), s'offre maintenant en – grosse – démo proposant une mission de la campagne solo ainsi qu'une carte escarmouche jouable seul ou à plusieurs.
Les changements ne sautent pas franchement aux yeux, aussi bien au niveau visuel qu'au niveau du gameplay, les deux étant encore une fois suffisamment accessibles pour séduire le plus grand nombre. Il faut dire qu'en si peu de temps (à peine 7 mois séparent ce second opus du premier), l'équipe de Gearbox n'avait pas vraiment la possibilité de revoir plus en avant son concept. Même si le système de visée est toujours aussi imprécis, il ajoute au réalisme des situations et contribue à cette ambiance héroïque et glorieuse qui avait fait le succès du premier volet. Reste maintenant à savoir si la répétitivité ennuyeuse de ce dernier va être corrigée dans cette suite.
129 €, c'est le nouveau prix de la Nintendo DS à compter du 7 octobre. A l'approche de Noël et avec cette baisse de 20 € plaçant la console portable à un prix psychologique plus abordable, Nintendo espère déposer tout plein de DS sous les sapins des petits européens.
Le 7 octobre, c'est aussi le jour où débarquent les chiots virtuels sobrement baptisés Nintendogs. Comme vu ici, ces vrais-faux animaux séduiront surtout les plus jeunes. Et pour couvrir encore mieux la cible des jeunes joueurs, Nintendo lâche dans la nature deux nouvelles couleurs de DS, bleu électrique et rose barbie. Avantage notoire, et surtout argument décisif, deux packs sont lancés ce même 7 octobre, comprenant chacun une DS de couleur et un jeu Nintendogs, au prix de 149 €. La version 'Labrador' sera disponible avec la DS bleue, la rose bénéficiera elle de la version 'Teckel'. Et même si l'envie vous démange, interdit de les abandonner sur l'autoroute. Ca ferait désordre.
Le FPS western qui avait changé de nom en mars dernier (cf. news), Call of Juarez, revient à la charge avec de nouvelles images plutôt alléchantes. Il y est toujours question d'incarner deux personnages antagonistes : le fugitif Billy et l'homme de foi (loi) lancé à ses trousses, le Révèrent Ray qui tire en lisant la bible... L'équipe de Techland insiste beaucoup sur les liens unissant ces deux ennemis et leurs conséquences sur le scénario, bien sûr, mais aussi sur le gameplay du jeu.
Comme tout western qui se respecte, Call of Juarez proposera son lot de duels au soleil et des chevauchés fantastiques. Mais le marché étant ce qu'il est, le joueur aura aussi droit à des séquences devenues des passages obligés dans les productions actuelles : de l'infiltration. Côté technique, Techland met en avant un moteur physique très travaillé mais aussi une gestion innovante des liquides, des fumées et du feu.
VU Games annonce aujourd'hui qu'une première extension au sympathique SWAT 4 (lire le test) va prochainement être proposée aux joueurs tacticiens. Intitulé The Stetchkov Syndicate, cet add-on comprendra 7 niveaux solo et multijoueur inédits, de nouveaux équipements, des armes supplémentaires, un nouveau mode multi (Smash & Grab) et un atout technique devenu quasi indispensable pour le genre : la voix par IP. Côté pitch, l'intrigue se situe dans une ville d'Europe de l'Est plus ou moins perturbée par une famille mafieuse.
Moins d'une semaine après la sortie de Burnout Legends sur PSP et quelques jours avant la sortie de son grand frère Revenge sur Xbox et PS2, Electronic Arts a convié la presse avant-hier à une petite soirée sur le thème du Crash et du Rock.
En effet, l'événement se déroulant au Hard Rock Café de Paris avait pour but non seulement de permettre aux retardataires de tester les deux nouveaux titres de la licence Burnout, mais aussi d'élire le meilleur groupe rock amateur français qui aura la chance de disputer la finale européenne à Barcelone, avec à la clef l'honneur de voir un de ses morceaux sur la bande son de Burnout 5, dont la sortie est prévue pour 2006.
Nous passerons sur les premières impressions, plutôt positives, sur les deux titres, puisque nous vous préparons leur test complet. Sachez seulement que les différences entre les versions Xbox et PS2 de Burnout Revenge sont assez négligeables, avec peut-être un petit plus pour la machine de Microsoft qui offre un niveau de détail supérieur. Le fun lui est plus que jamais présent, et les quelques innovations dans les différents modes de jeu nous confirment que les développeurs n'ont pas envie de laisser Burnout devenir un simple jeu à licence.
A l'approche de sa sortie, le service marketing d'Ubisoft prépare les armes commerciales du prochain Prince of Persia. Si elles ont longtemps porté le nom de Kindred Blades (les lames jumelles), les nouvelles aventures du Prince arborent maintenant un titre moins ouvertement guerrier, voire plus classique, mais qui illustre toujours la confrontation entre notre héros et son double noir, Dark Prince. Ce dernier épisode de la trilogie d'Ubi va donc s'appeler The Two Thrones (les deux trônes).
En attendant que l'équipe de développement – surprotégée ou débordée selon les points de vue – puisse répondre à nos questions, nous sommes malheureusement obligés de nous contenter du discours officiel dont voici un nouvel extrait :
"Prince of Persia: The Two Thrones permettra au joueur d'explorer les deux facettes de la personnalité du Prince" déclare Yannis Mallat, le producteur exécutif de cet opus. "Le Prince devra à la fois combattre ses propres démons intérieurs et en savoir plus sur son alter ego. Il luttera aux frontières du Bien et du Mal afin de rendre sa grandeur d'antan à la cité de Babylone."
C'est toujours difficile de lâcher un bon jeu. Alors imaginez 22 des meilleurs jeux du catalogue "oldies" de Capcom. L'éditeur japonais va en effet proposer très bientôt une compilation de jeux intemporels, tout droit sortis de l'époque bénie des arcades, de 1984 à 1994. Et vous n'aurez même pas besoin de monnaie.
Capcom Classics Collection, le nom de ce best-of, permettra de rejouer à des jeux tels que Commando, Final Fight, Gun.Smoke, Forgotten Worlds et Bionic Commando. Côté multi, l'action sera aussi accessible à deux et trois joueurs, l'un contre l'autre dans Street Fighter II, l'un avec l'autre dans Mercs et chacun pour soi pour marquer des scores géants dans le hall of fame de 1942.
Sorti il y a seulement quinze jours, WipEout Pure a déjà bénéficié de deux add-on gratuits, gonflant ainsi son nombre de circuits et ajoutant quelques vaisseaux plutôt bien équilibrés. La dernière mise à jour de WipEout Pure exclusive à l'Europe et tout juste mise à disposition en téléchargement, aborde la question des limites du 'gratuit'. Si le premier pack s'intégrait parfaitement au jeu, le deuxième approche davantage le goût amer de l'accord commercial.
Ainsi, la marque de sport Puma a choisi un des titres phares du catalogue de la PSP pour placer son logo sous les yeux des joueurs. Que ce soit dans le nom des deux vaisseaux ajoutés ou dans le décor des quatre nouvelles courses, la marque au félin noir est partout... à en devenir gênante pendant le jeu. Les vrais-faux panneaux publicitaires incrustés dans les circuits déroulent des logos particulièrement nombreux et voyants, arborant fièrement les couleurs de la marque.
Puma signe ici une petite victoire en termes de marketing, réussissant à placer sa marque dans le contenu gratuit d'un jeu plébiscité, en devenant intimement liée aux dernières courses disponibles. Si les joueurs scrupuleux hésiteront à télécharger cet add-on, les autres se l'accapareront avec enthousiasme, préférant bénéficier d'un championnat supplémentaire quitte à devoir supporter le placement de la marque sportive dans les nouveaux éléments. Et ceux à faire ce choix seront nombreux, pour le plus grand plaisir de Puma, qui ouvre la voie à d'autres annonceurs en quête d'image.