Comme vous pouvez le voir, les images du site ne sont plus accessibles depuis environ 48 heures. Notre serveur où elles sont stockées est resté en week-end et menace de nous dénoncer aux Prud'hommes si on ne le laisse pas se reposer encore quelques temps. Il affirme qu'il a lui aussi droit à un peu de vacances, que le syndicat des serveurs d'images surexploités est derrière lui et surveille attentivement les menaces que nous pourrions lui faire pour l'obliger à revenir. Nous essayons de le persuader que sa mission est vitale, qu'il sauve des vies tous les jours que Dieu fait mais, comme vous vous en doutez, il est très têtu.
Les négociateurs que nous avons dépêché sur place font leur possible pour rétablir la situation au plus vite. Merci de votre patience.
Un petit rappel pour les trop jeunes ou les trop vieux : les Animaniacs consistaient en une série télé animée, produite par Spielberg et mettant en scène Yakko, Wakko et Dot, personnages délirants, un peu à la manière des Tiny Toons (qui proviennent du même studio). Du Bugs Bunny mis au goût du jour, donc. Avec une matière telle que celle-la, on aurait pu nous servir autre chose qu'un énième jeu d'action/plate-forme 3D saupoudré de mini jeux franchement moyens.
Les musiques, graphismes et les voix sont correctes, mais hélas, on ne pourra même pas offrir ce jeu aux plus petits, notamment à cause d'un défaut qui malheureusement ruine n'importe quel jeu de ce type : les contrôles, horriblement brouillons. Il suffit d'essayer d'écraser son premier cactus à l'aide du marteau géant, une des armes du jeu : on a beau taper parfaitement sur la plante, pile au centre mais non, le jeu n'en fait qu'à sa tête, ça ne marche pas et il faut s'y reprendre à plusieurs fois. Aussi frustrant pour les adultes que pour les plus petits, ce problème bien fâcheux n'arrange pas le gameplay, qui en plus d'être franchement bateau (récolter des petites statues), n'est pas aidé par le level design, qui pourtant, avec un cartoon délirant comme base de départ, aurait pu être un minimum original.
Atari continue de dévoiler plus en détails Tycoon City: New York. Comme vous le savez déjà, ce jeu de gestion urbain proposera de diriger la célèbre cité américaine. Avec ses bâtiments de l'Upper West Side de Manhattan, par exemple, le joueur pourra évoluer dans des environnements bien connus des fans de séries TV telles que Sex & The City, The Cosby Show et, bien sûr, Friends. Le souci du détail va même jusqu'à l'incorporation des taxis jaunes emblématiques de la ville.
Avec près de 8 millions d'habitants, New York est la cité Nord Américaine la plus peuplée. L'équipe de Deep Red Games ambitionne de rendre cette densité à l'écran en espérant qu'elle ne soit pas trop contraignante pour les petites et moyennes configurations. En tous cas, les images qui suivent laissent supposer que les développeurs sont bien parvenus à illustrer cette effervescence typiquement new-yorkaise.
Cette vidéo vaut plus que tous les discours. Le pad de la Nintendo Revolution, grand absent du dernier E3, vient d'être dévoilé par le constructeur japonais au cours d'une conférence très attendue. Et on comprend immédiatement pourquoi le secret a été si bien caché tant le concept s'avère révolutionnaire.
Première impression : ça décoiffe. Au-delà de son simple aspect de télécommande, le pad se décompose en fait en deux blocs. De la main gauche le joueur tient le stick directionnel et de la droite les contrôles. Ce dernier objet retient toute notre attention : sensible aux mouvements, il fera office de sabre, de pistolet, de canne à pêche... bref, tout ce que l'on peut imaginer, tant qu'on bouge la main correctement. En pratique, le principe a vraiment l'air très amusant.
Après 20 ans de tradition de la croix directionnelle et des classiques boutons A et B, voici le pad qui fera peut-être la différence dans les consoles next-gen. A l'heure où Sony et Microsoft se disputent tant bien que mal la palm du high tech luxueux, le plus ancien des créateurs de consoles pourraient bien sortir son épingle du jeu en se concentrant avant tout sur le plaisir du joueur.
Le communiqué officiel juste après le lien "En savoir plus".
Ca y est, c'est officiel. Après les quelques rumeurs qui courraient à travers le net, Microsoft a enfin levé le voile sur les détails du lancement de sa nouvelle console de salon : la Xbox 360.
Le prix de la X360 a été révélé lors du Games Convention 2005 : 299,99 € pour la zone Euro, 299,99 $ pour les Etats-Unis et 209,99£ pour la Grande Bretagne. Le prix de la version Premium, comportant la console plus des accessoires, est fixé à 280 € au Japon – soit 37900 yens – alors qu'en Europe, le prix pour le même pack plafonnera à 399 €. Microsoft voudrait-il séduire avant tout le Japon sachant que la Xbox ne s'y est jamais vraiment très bien vendu ? Peut-être bien.
Lors des conférences pré-TGS (Tokyo Game Show), Microsoft a aussi annoncé les différentes dates de sortie de sa console. Les premiers servis seront bien sûr les américains qui verront la Xbox 360 débarquer sur leur territoire le 22 novembre 2005. Pour l'Europe, il faudra patienter jusqu'au 2 décembre. Quant au japonnais, ils seront les derniers servis : le 10 décembre 2005. Ça leur apprendra d'avoir la PSP et la Nintendo DS avant tout le monde !
Le line-up de sortie juste après le lien "En savoir plus".
Depuis son annonce, Bone – nous vous en parlions ici – n'a pas manqué de piquer la curiosité des fans de jeux d'aventure. Développé par des anciens de chez LucasArts, cette épopée d'un petit fantôme bien plus caustique qu'un Casper s'offre aujourd'hui en démo.
L'environnement disponible dans cet extrait – un bout de désert desséché – ne permet pas vraiment de mesurer les qualité graphiques du moteur 3D mais l'emballage apparaît déjà tout à fait correct (malgré une résolution maximum de 800*600). Côté gameplay, on retrouve les principes et le confort du point'n'clic. Enfin, l'atout essentiel du jeu commence à se dévoiler : des dialogues très travaillés, basés sur l'humour caractéristique des jeux d'aventure de la grande époque LucasArts.
Uniquement en Anglais, le jeu complet peut-être téléchargé directement sur le site de Telltale pour la somme de 19 US$. Notez enfin que, pour le moment, Bone n'est pas annoncé en France.
Après l'annonce, il y a peu, du prochain épisode du skater le plus connu de la planète, Neversoft programme pour bientôt la sortie de Tony Hawk's American SK8Land exclusivement sur Nintendo DS. Et pour assouplir la 3D qui apparaît pour la première fois sur une console portable de Nintendo, le cell-shading est de la partie.
Tony Hawk et ses amis s'éclateront dans sept lieux de Los Angeles réputés dans le milieu des skaters. Parmi les caractéristiques intéressantes, on trouvera un mode deux joueurs sans fil (à quand la mêlée à 16 ?) reprenant les challenges des précédents volets. Toujours grâce au WiFi, on pourra jouer online, poster ses high scores, télécharger de nouveaux tricks et combos, tout comme s'affronter entre inconnus.
L'écran tactile aura quant à lui pour principale fonction d'afficher la carte, ainsi que des bonus à activer pour exécuter des tricks spéciaux. Rien de bien folichon, donc. On aurait pu s'attendre à dessiner les mouvements des tricks à réaliser, mais il semblerait que tout se joue encore avec les boutons.
Pour le reste, on retrouve la formule classique qui fait la réussite de la saga des Tony Hawk, avec des skate parks à construire, des environnements variés, et différents modes de jeu. Ah si, une nouveauté : grâce au micro on peut enregistrer sa voix pour remplacer certains effets sonores. Et Tony Hawk devint un jeu de karaoké.
Ca sent bon le chrome et ça grogne comme un chien de chasse. Son nom : Chromehounds. Ce jeu de mechs initialement développé pour Xbox par le studio japonais FROM Softwares verra finalement le jour sur X360. On gagne du temps et ça fait des heureux. Sega, chargé de l'édition du titre, nous donne plus d'infos sur le "premier jeu de mechs pour console next-gen".
Pour rappel, les mechs sont de grands robots d'acier armés jusqu'aux écrous, généralement contrôlés par des humains. L'action de Chromehounds se situe dans un futur proche, où les guerres ne se font plus qu'entre mechs, justement. Ce titre met l'accent sur le jeu coopératif et multijoueur online. Non que Sega annonce déjà un intérêt limité en solo, mais l'épopée ne sera plus qu'épique à plusieurs : les mechs, ou "hounds" dans le jeu ont des capacités fortement complémentaires, qu'il faudra utiliser avec discipline et coordination.
On peut donc en tirer les grandes lignes : pour vaincre, il faut faire partie d'une faction à la fois solidaire et organisée, dans laquelle la stratégie règne. Chaque joueur incarne un membre de l'escadron, les pilotes de mechs exécutant les ordres émis par les joueurs-tacticiens. Car pour ceux qui ne l'auraient pas encore deviné, seul le commandant a droit au radar... les autres joueurs ne voient que ce qui apparaît en face de leur mech. Le Xbox Live prend ici une dimension tout autre.
Chromehounds est annoncé pour le printemps 2006, et pourra accueillir jusqu'à 12 joueurs en simultané sur le Xbox Live.
La N-Gage, à la fois console de jeu et téléphone portable, se voit dotée d'une mise à jour importante de l'une de ses principales applications : le launcher N-Gage Arena. Indispensable pour jouer online, il permet avec cette nouvelle version d'accéder à de nouvelles fonctions.
Parmi les outils fraîchement implémentés, on retrouve le Public Group Chat qui, comme son nom l'indique, est une salle de chat ouverte en permanence. Dans l'absolu, elle permettra d'organiser des parties online. Autre nouveauté, le Friend Rankings, qui compare ses stats avec celles de ses camarades de jeu. Idéal pour savoir qui détrôner du high score. Une fonction permet d'ailleurs de se retrouver dans une salle de chat avec juste les utilisateurs inscrits sur sa liste de contacts. Enfin, au niveau du contenu, outre les démos et jeux gratuits que l'on peut toujours télécharger, Nokia propose à présent des images et conseils de jeu.
Pour le moment uniquement disponible en anglais, la version 2.5 du lanceur sera bientôt disponible en français, directement sur le portail Arnea français. Pour l'installer, il suffit de le télécharger et de suivre les instructions.
Grâce à l'éditeur Nobilis, six titres du catalogue Capcom se paient le luxe de baisser leurs prix.
Sur PS2, on retrouvera pour une vingtaine d'euros chacun des classiques comme Resident Evil Code Veronica X, Devil May Cry, Onimusha et Maximo. Certes ils ne datent pas d'hier, de 2001 pour être précis, mais c'est toujours bon à prendre pour compléter sa collection. D'autant que ces titres ont marqué leur époque comme étant incontournables pour tout possesseur de PS2 qui se respecte. Du côté Gamecube, ce sont deux petits bijoux qui sont proposés, à un prix encore moins cher que les Player's Choice de Nintendo : 25 euros seulement. A ce prix, pourquoi se priver de Resident Evil et Resident Evil Zero ? Bon, après avoir goûté à Resident Evil 4, on ne veut plus trop replonger dans ces histoires anciennes, me direz-vous. Mais qui sait, la nostalgie du temps passé vous gagnera peut-être, quitte à revivre ces aventures éprouvées mais toujours aussi pleine de zombies ?
Pour les plus jeunes, le résumé de ces anciens titres se trouve juste après le "en savoir plus".