A l'approche de sa sortie, le service marketing d'Ubisoft prépare les armes commerciales du prochain Prince of Persia. Si elles ont longtemps porté le nom de Kindred Blades (les lames jumelles), les nouvelles aventures du Prince arborent maintenant un titre moins ouvertement guerrier, voire plus classique, mais qui illustre toujours la confrontation entre notre héros et son double noir, Dark Prince. Ce dernier épisode de la trilogie d'Ubi va donc s'appeler The Two Thrones (les deux trônes).
En attendant que l'équipe de développement – surprotégée ou débordée selon les points de vue – puisse répondre à nos questions, nous sommes malheureusement obligés de nous contenter du discours officiel dont voici un nouvel extrait :
"Prince of Persia: The Two Thrones permettra au joueur d'explorer les deux facettes de la personnalité du Prince" déclare Yannis Mallat, le producteur exécutif de cet opus. "Le Prince devra à la fois combattre ses propres démons intérieurs et en savoir plus sur son alter ego. Il luttera aux frontières du Bien et du Mal afin de rendre sa grandeur d'antan à la cité de Babylone."
C'est toujours difficile de lâcher un bon jeu. Alors imaginez 22 des meilleurs jeux du catalogue "oldies" de Capcom. L'éditeur japonais va en effet proposer très bientôt une compilation de jeux intemporels, tout droit sortis de l'époque bénie des arcades, de 1984 à 1994. Et vous n'aurez même pas besoin de monnaie.
Capcom Classics Collection, le nom de ce best-of, permettra de rejouer à des jeux tels que Commando, Final Fight, Gun.Smoke, Forgotten Worlds et Bionic Commando. Côté multi, l'action sera aussi accessible à deux et trois joueurs, l'un contre l'autre dans Street Fighter II, l'un avec l'autre dans Mercs et chacun pour soi pour marquer des scores géants dans le hall of fame de 1942.
Sorti il y a seulement quinze jours, WipEout Pure a déjà bénéficié de deux add-on gratuits, gonflant ainsi son nombre de circuits et ajoutant quelques vaisseaux plutôt bien équilibrés. La dernière mise à jour de WipEout Pure exclusive à l'Europe et tout juste mise à disposition en téléchargement, aborde la question des limites du 'gratuit'. Si le premier pack s'intégrait parfaitement au jeu, le deuxième approche davantage le goût amer de l'accord commercial.
Ainsi, la marque de sport Puma a choisi un des titres phares du catalogue de la PSP pour placer son logo sous les yeux des joueurs. Que ce soit dans le nom des deux vaisseaux ajoutés ou dans le décor des quatre nouvelles courses, la marque au félin noir est partout... à en devenir gênante pendant le jeu. Les vrais-faux panneaux publicitaires incrustés dans les circuits déroulent des logos particulièrement nombreux et voyants, arborant fièrement les couleurs de la marque.
Puma signe ici une petite victoire en termes de marketing, réussissant à placer sa marque dans le contenu gratuit d'un jeu plébiscité, en devenant intimement liée aux dernières courses disponibles. Si les joueurs scrupuleux hésiteront à télécharger cet add-on, les autres se l'accapareront avec enthousiasme, préférant bénéficier d'un championnat supplémentaire quitte à devoir supporter le placement de la marque sportive dans les nouveaux éléments. Et ceux à faire ce choix seront nombreux, pour le plus grand plaisir de Puma, qui ouvre la voie à d'autres annonceurs en quête d'image.
Comme vous pouvez le voir, les images du site ne sont plus accessibles depuis environ 48 heures. Notre serveur où elles sont stockées est resté en week-end et menace de nous dénoncer aux Prud'hommes si on ne le laisse pas se reposer encore quelques temps. Il affirme qu'il a lui aussi droit à un peu de vacances, que le syndicat des serveurs d'images surexploités est derrière lui et surveille attentivement les menaces que nous pourrions lui faire pour l'obliger à revenir. Nous essayons de le persuader que sa mission est vitale, qu'il sauve des vies tous les jours que Dieu fait mais, comme vous vous en doutez, il est très têtu.
Les négociateurs que nous avons dépêché sur place font leur possible pour rétablir la situation au plus vite. Merci de votre patience.
Un petit rappel pour les trop jeunes ou les trop vieux : les Animaniacs consistaient en une série télé animée, produite par Spielberg et mettant en scène Yakko, Wakko et Dot, personnages délirants, un peu à la manière des Tiny Toons (qui proviennent du même studio). Du Bugs Bunny mis au goût du jour, donc. Avec une matière telle que celle-la, on aurait pu nous servir autre chose qu'un énième jeu d'action/plate-forme 3D saupoudré de mini jeux franchement moyens.
Les musiques, graphismes et les voix sont correctes, mais hélas, on ne pourra même pas offrir ce jeu aux plus petits, notamment à cause d'un défaut qui malheureusement ruine n'importe quel jeu de ce type : les contrôles, horriblement brouillons. Il suffit d'essayer d'écraser son premier cactus à l'aide du marteau géant, une des armes du jeu : on a beau taper parfaitement sur la plante, pile au centre mais non, le jeu n'en fait qu'à sa tête, ça ne marche pas et il faut s'y reprendre à plusieurs fois. Aussi frustrant pour les adultes que pour les plus petits, ce problème bien fâcheux n'arrange pas le gameplay, qui en plus d'être franchement bateau (récolter des petites statues), n'est pas aidé par le level design, qui pourtant, avec un cartoon délirant comme base de départ, aurait pu être un minimum original.
Atari continue de dévoiler plus en détails Tycoon City: New York. Comme vous le savez déjà, ce jeu de gestion urbain proposera de diriger la célèbre cité américaine. Avec ses bâtiments de l'Upper West Side de Manhattan, par exemple, le joueur pourra évoluer dans des environnements bien connus des fans de séries TV telles que Sex & The City, The Cosby Show et, bien sûr, Friends. Le souci du détail va même jusqu'à l'incorporation des taxis jaunes emblématiques de la ville.
Avec près de 8 millions d'habitants, New York est la cité Nord Américaine la plus peuplée. L'équipe de Deep Red Games ambitionne de rendre cette densité à l'écran en espérant qu'elle ne soit pas trop contraignante pour les petites et moyennes configurations. En tous cas, les images qui suivent laissent supposer que les développeurs sont bien parvenus à illustrer cette effervescence typiquement new-yorkaise.
Cette vidéo vaut plus que tous les discours. Le pad de la Nintendo Revolution, grand absent du dernier E3, vient d'être dévoilé par le constructeur japonais au cours d'une conférence très attendue. Et on comprend immédiatement pourquoi le secret a été si bien caché tant le concept s'avère révolutionnaire.
Première impression : ça décoiffe. Au-delà de son simple aspect de télécommande, le pad se décompose en fait en deux blocs. De la main gauche le joueur tient le stick directionnel et de la droite les contrôles. Ce dernier objet retient toute notre attention : sensible aux mouvements, il fera office de sabre, de pistolet, de canne à pêche... bref, tout ce que l'on peut imaginer, tant qu'on bouge la main correctement. En pratique, le principe a vraiment l'air très amusant.
Après 20 ans de tradition de la croix directionnelle et des classiques boutons A et B, voici le pad qui fera peut-être la différence dans les consoles next-gen. A l'heure où Sony et Microsoft se disputent tant bien que mal la palm du high tech luxueux, le plus ancien des créateurs de consoles pourraient bien sortir son épingle du jeu en se concentrant avant tout sur le plaisir du joueur.
Le communiqué officiel juste après le lien "En savoir plus".
Ca y est, c'est officiel. Après les quelques rumeurs qui courraient à travers le net, Microsoft a enfin levé le voile sur les détails du lancement de sa nouvelle console de salon : la Xbox 360.
Le prix de la X360 a été révélé lors du Games Convention 2005 : 299,99 € pour la zone Euro, 299,99 $ pour les Etats-Unis et 209,99£ pour la Grande Bretagne. Le prix de la version Premium, comportant la console plus des accessoires, est fixé à 280 € au Japon – soit 37900 yens – alors qu'en Europe, le prix pour le même pack plafonnera à 399 €. Microsoft voudrait-il séduire avant tout le Japon sachant que la Xbox ne s'y est jamais vraiment très bien vendu ? Peut-être bien.
Lors des conférences pré-TGS (Tokyo Game Show), Microsoft a aussi annoncé les différentes dates de sortie de sa console. Les premiers servis seront bien sûr les américains qui verront la Xbox 360 débarquer sur leur territoire le 22 novembre 2005. Pour l'Europe, il faudra patienter jusqu'au 2 décembre. Quant au japonnais, ils seront les derniers servis : le 10 décembre 2005. Ça leur apprendra d'avoir la PSP et la Nintendo DS avant tout le monde !
Le line-up de sortie juste après le lien "En savoir plus".
Depuis son annonce, Bone – nous vous en parlions ici – n'a pas manqué de piquer la curiosité des fans de jeux d'aventure. Développé par des anciens de chez LucasArts, cette épopée d'un petit fantôme bien plus caustique qu'un Casper s'offre aujourd'hui en démo.
L'environnement disponible dans cet extrait – un bout de désert desséché – ne permet pas vraiment de mesurer les qualité graphiques du moteur 3D mais l'emballage apparaît déjà tout à fait correct (malgré une résolution maximum de 800*600). Côté gameplay, on retrouve les principes et le confort du point'n'clic. Enfin, l'atout essentiel du jeu commence à se dévoiler : des dialogues très travaillés, basés sur l'humour caractéristique des jeux d'aventure de la grande époque LucasArts.
Uniquement en Anglais, le jeu complet peut-être téléchargé directement sur le site de Telltale pour la somme de 19 US$. Notez enfin que, pour le moment, Bone n'est pas annoncé en France.
Après l'annonce, il y a peu, du prochain épisode du skater le plus connu de la planète, Neversoft programme pour bientôt la sortie de Tony Hawk's American SK8Land exclusivement sur Nintendo DS. Et pour assouplir la 3D qui apparaît pour la première fois sur une console portable de Nintendo, le cell-shading est de la partie.
Tony Hawk et ses amis s'éclateront dans sept lieux de Los Angeles réputés dans le milieu des skaters. Parmi les caractéristiques intéressantes, on trouvera un mode deux joueurs sans fil (à quand la mêlée à 16 ?) reprenant les challenges des précédents volets. Toujours grâce au WiFi, on pourra jouer online, poster ses high scores, télécharger de nouveaux tricks et combos, tout comme s'affronter entre inconnus.
L'écran tactile aura quant à lui pour principale fonction d'afficher la carte, ainsi que des bonus à activer pour exécuter des tricks spéciaux. Rien de bien folichon, donc. On aurait pu s'attendre à dessiner les mouvements des tricks à réaliser, mais il semblerait que tout se joue encore avec les boutons.
Pour le reste, on retrouve la formule classique qui fait la réussite de la saga des Tony Hawk, avec des skate parks à construire, des environnements variés, et différents modes de jeu. Ah si, une nouveauté : grâce au micro on peut enregistrer sa voix pour remplacer certains effets sonores. Et Tony Hawk devint un jeu de karaoké.