Dead or Alive 4 fait partie du line-up de sortie de la X360, et c'est tant mieux. Nous avons eu le plaisir de le tenir en main dans sa version preview : il ne lui manquait pas grand chose pour être opérationnel.
Grand concurrent de la série des Tekken sur Playsation, la saga Dead or Alive est devenue la figure de proue de la Xbox dans les jeux de combats. Dead or Alive 4 ne déroge pas à la règle : ce qui frappe avant même de commencer à se taper dessus, c'est la réalisation graphique. Une claque, au même titre que Project Gotham Racing 3. C'est bien simple, on croirait avoir une borne d'arcade dans son salon. Les décors sont terriblement bien animés, les détails sont extrêmement fins, à un tel point que l'on apprécie davantage de jouer avec un combattant féminin. Allez comprendre pourquoi.
Les arènes de Dead or Alive 4 sont assez bien conçues : sans fin apparente, elles jouissent d'une forte interactivité, autorisant les deux combattants à sortir des limites classiques d'un ring. Ainsi, dans les somptueux jardins, on peut se battre sur le pont de pierre, mais aussi en tomber... et continuer le match dans la rivière, avec de l'eau jusqu'aux genoux. Dans d'autres environnements, les bâtiments sont ouverts ; commencer un match dans la rue et le finir dans un casino, c'est tout de même original. Cependant l'exploration n'est pas libre et dépend fortement des coups portés à l'ennemi ; une défenestration dans les règles de l'art n'est possible que sur un coup long. Mais rassurez-vous, on se balade bien assez pour profiter des nombreuses variations des environnements.
Même si le solo répond au classique tournoi, notre préférence s'est spontanément portée vers le mode versus, qui s'est révélé bien plus prenant. En effet, une fois la compétition engagée, plus moyen de lâcher le pad. Qui a dit que les petites tenues des combattantes étaient nos seules motivations ?
A une semaine à peine de la sortie tant attendue par de nombreux joueurs de la X360, nous avons pu nous essayer à une version preview de Perfect Dark Zero, issu du studio Rare fidèlement voué à Microsoft depuis quelques années.
Et la première impression est sans appel : Perfect Dark Zero ne vaut pas l'attente qu'il nous aura fait subir. Sans prétentions graphiques, sans originalité, sans goût... Perfect Dark Zero nous a tout particulièrement déçu. A la limite, le gameplay peut redresser légèrement la barre. Déplacer l'héroïne Joanna Dark ne pose aucun problème, tout comme viser, tirer, actionner des interrupteurs, ce qui vaut mieux pour un FPS console.
Mais pour le reste, on repassera. L'ambiance techno-punk ne colle pas du tout, les maps sont simplistes et donnent une affreuse impression de déjà-vu, tout en étant assez mal pensées. On se retrouve par exemple plusieurs fois dans de grands hangars, à affronter une vingtaine d'ennemis à coups de pistolet automatique : pour une mission dite d'infiltration, c'est raté. A propos des ennemis, cette version preview semblait les gratifier d'une IA inexistante, ce qui ne nous a pas laissé le loisir d'apprécier leur efficacité.
Une grande déception, donc, vis-à-vis de ce titre qui aura été maintes fois repoussé, de la N64 à la Gamecube, puis à la Xbox, pour enfin atterrir sur la X360 parmi le line-up de sortie. Et, si rien n'a changé dans la version finale, il restera probablement dehors.
Après ces quelques heures passées à tester ces blockbusters en puissance, voici un échantillon de leurs impressions souvent très directes et, de ce fait, plutôt intéressantes. L'un de ces lecteurs a même eu la bonne idée de prendre des clichés de l'évènement pour que le partage soit aussi visuel. Dîtes, c'est démago de vous dire "vous êtes géniaux" ?
Les avis imagés juste après le lien "En savoir plus".
Alors que les USA n'en peuvent plus de faire la queue pour acquérir la toute nouvelle Xbox, en parallèle nous arrive ce qui pourrait bien être votre future plus grosse baisse de productivité pour l'année à suivre : la GP2X. Fonctionnant sous Linux, ce bijou supporte les formats MPEG, MPEG4, Divx 3/4/5, Xvid, WMV, quant à l'audio vous devrez vous contenter de lire vos Mp3, OGG et pour ceux que ça intéresse, les WMA.
Dotée d'un autonomie plus que respectable (6 heures en lecture vidéo, 10 heures en audio), elle permettra en attendant que les éditeurs ne se mettent à sortir des jeux dessus de vous occuper avec divers émulateurs tels que MAME, SNES, Genesis ou PC Engine. Il cotoiera sur les 64Mo livrés en standart d'autres émulateurs ou bien Quake, passé sous licence GPL il y a peu. Il est à noter que le SDK est livré avec la console.
C'est donc peut être aux yeux du grand public que le logiciel libre a un bel avenir? Pour le savoir, attendons un peu, mais pour commander, c'est ici et c'est moins cher qu'une PSP.
Caractéristiques techniques :
2 processeurs ARM (processeur maître ARM920T 200MHz + ARM940T dédié à la vidéo)
En attendant le 27 janvier 2006, date à laquelle la version française de Psychonauts sera disponible, son créateur Tim Schafer nous confie quelques détails sur son dernier bébé. Le projet tel que nous allons le voir bientôt a subi bien des changements et la version originale a tout simplement été mise au placard pour donner un jeu à l'univers déjanté où l'humour est omniprésent.
Il était question d'une aventure dans un asile psychiatrique avec comme héros un patient complètement dingue. Ce personnage principal est vite devenu un petit psycho, puis un gros et pour finir un doux dingue qui vivra sa première aventure dans un camp d'été, source de merveilleux souvenirs pour Tim Schafer.
Mais l'impulsion première de Psychonauts est de faire devenir réels les délires les plus fous qui se passent dans la tête des malades. En effet, un mégalo n'est il pas pour lui le maître du monde? Et si nous pouvions aller dans leur esprit, ne seraient ils pas les rois, dotés d'un vaste royaume peuplé de statues à leur effigie? En tous cas, c'est ainsi que le voit Tim Schafer, et il souhaite nous faire partager sa vision du monde intérieur de chacun à travers son jeu.
Diabolique "permis de pécher", nous mettra dans la peau du meilleur agent de l'enfer parti sur terre faire pencher la balance du bien et du mal en faveur de Lucifer. Comme c'est rigolo on dirait une sorte de Constantine mais à l'envers, ça commence bien.
Equipé de gadgets à la pointe de la technologie comme un Men in Black, d'armes de destruction massives et de pouvoirs psychiques (téléportation, kamehameha), on ira mettre la pâtée à tous ces bien pensants d'anges ne cherchant qu'à aider ces misérables humains. Doté d'une histoire à rebondissements, Diabolique nous promet des graphismes encore jamais vus, une IA des plus poussées pouvant réagir aux actions du joueur, et surtout un gameplay novateur mettant les anciens titres se jouant à la troisième personne au placard. En tous cas, ces 4 nouvelles captures d'écran ne laissent rien présager de transcendant.
Quoiqu'il en soit, ce titre prévu sur PC et "Xbox2" (non, pas 360) aura le temps de parfaire ses atours car il est prévu pour le troisième trimestre 2006, donc avec le retard habituel attendons-le pour dans un an.
Wal-Mart, énorme chaîne de supermarchés américains bien connue pour sa politique esclavagiste à l'encontre de ses employés, rencontre de bien nombreux problèmes avec les bornes de démonstration de la future Xbox 360.
En effet, la norme wireless propriétaire de Microsoft, le fameux "2.4RF" éclate purement et simplement les enceintes sans fils des kit home cinéma à proximité, des bornes de développement photo sont rendues inutilisables et même les caisses enregistreuses se dérèglent.
Les ingénieurs de chez Microsoft se veulent optimistes, et la date de sortie n'est nullement remise en question, mais chez Wal-Mart on ne parle plus de ce problème car le nouveau est à la limite plus important : chaque magasin a reçu seulement 3 packs alors que les super centres en ont reçu 10. Cette nouvelle provoque un tollé dans les rangs des futurs acheteurs outre-atlantique. Alors, ça fait quoi d'être pris pour des européens ?
Le Colonel Michael Swift (c'est vous) a été solennellement prié par le gouvernement US de bien vouloir essayer deux inventions révolutionnaires : le Quantum Suit et le Chronomicon, respectivement un dispositif de contrôle du temps et une machine à voyager dans le temps. Ca commence fort dans TimeShift. On ne sait pas pourquoi un militaire isolé est chargé de ces tests, mais passons. Swift (toujours vous) atterrit en 1911, où il dépose une sonde. Mais l'effet paradoxal de son voyage dans le passé apparaît quand il revient dans son époque : le monde a changé à un tel point qu'il ne le reconnaît plus. A une chose près, le projet Chronomicon existe toujours, et comme notre brave colonel est au courant, pas besoin de long discours pour saisir qu'il est devenu gênant. Sa mission devient prophétique : rétablir l'ordre dans ce monde désordonné.
A la manière d'un Prince of Persia, on se balade dans les couloirs du temps avec nos deux accessoires : Swift peut stopper, ralentir ou inverser la ligne du temps, lui permettant de venir à bout de ses trop nombreux ennemis. Une trentaine de niveaux pour une dizaine de missions, accompagnés d'autant d'armes aux capacités simples ou avancées font de TimeShift un FPS qui fleure bon l'action. Le multijoueur autorise 16 combattants, chacun usant de son pouvoir d'action sur le temps. Ca promet.
TimeShift sera disponible courant 2006 sur PC, Xbox et X360.
On se souvient de Project Rub, suite de mini-jeux déjantés accompagnant la NDS lors de son lancement. Aujourd'hui Sega annonce la suite, avec The Rub Rabbits!. Et toujours une vague histoire de séduction comme scénario.
The Rub Rabbits! conserve les graphismes de son grand frère, mêlant à-plats de couleurs et décors en 3D. Mais c'est surtout le concept loufoque qui est ici poussé encore plus loin : un fil conducteur permet au joueur de participer à toute une série de mini-jeux pour la plupart déjantés. Les possibilités sont nombreuses et la NDS est mise à profit, puisque pour animer le personnage il faut toucher, frotter, crier ou souffler sur sa console. La Sonic Team, qui développe la série, nous a concocté pas moins de 35 chapitres, ce qui laisse le temps de profiter du titre et de ses jeux idiots.
The Rub Rabbits! propose également un mode multijoueur via WiFi et un mode deux joueurs sur la même console. Pour relever ce défi (tactile) de séducteur, il faudra patienter jusqu'au mois de février 2006.
Quinze titres tout rond seront disponibles le 2 décembre 2005 lors du lancement de la deuxième console de salon de Microsoft, la Xbox 360. Très peu d'exclusivités, beaucoup de jeux multi-supports, quelques nouveautés. Cependant plusieurs types de jeux sont présents dans ce catalogue de sortie. Les joueurs trouveront donc leur compte entre les simulations sportives, automobiles, les FPS et les jeux d'aventure.
Là où l'on rigole très fort, c'est au niveau des accessoires. Rappelons que la X360 sera disponible en deux versions : 299 € pour la version simple, 399 € pour la version premium (tous les détails dans cette news). La longue liste d'accessoires proposés par Microsoft fait sourire dans un premier temps, effraie ensuite.
On constate que chez Microsoft le taux de change n'a pas d'importance, puisque le prix en dollar devient le prix en euro, sans changement aucun. Ah si, parfois on l'augmente : c'est mieux. On trouve donc par exemple la manette sans fil à 45 €, la carte mémoire à 35, le disque dur 20 Go à 99 €, et la batterie pour manette sans fil à... 15 €. Une note finale qui risque d'être assez salée, surtout pour les plus pressés puisque souvenez-vous de la Xbox, où certains prix ont été revus à la baisse quelques semaines seulement après son lancement.
