Préparez-vous à bouffer du champignon, Mario & Luigi : Les frères du temps débarque très prochainement sur DS. Ce sera l'occasion de renouer avec le petit plombier italien, son fidèle frangin et... leurs alter ego enfantins. Nintendo nous la joue en effet "tout en un" avec ce titre qui se présente comme une "combinaison unique de RPG, de jeu de plates-formes et d'aventure", et mettra en scène Mario, Luigi, Baby Mario et Baby Luigi.
L'histoire ? Toujours la même : la princesse Peach a encore trouvé le moyen de se faire enlever, cette fois non pas par le méchant de service, mais carrément par les Schroobs, des monstres venus d'une autre planète. Sauf qu'au moment de son rapt, elle était justement en train d'essayer une nouvelle machine à remonter le temps. Voilà qui sera fort utile à nos deux compères : leur entrée dans le portail dimensionnel pourra peut-être permettre de sauver Peach, et surtout d'empêcher l'affreuse "invasion du royaume champignon par des héros farfelus". Déjà-vu, vous dites ?
On sait depuis peu que c'est Atari Interactive qui a obtenu l'exclusivité mondiale de la licence "Athur and the Minimoys", pour le développement, l'édition, et la distribution des jeux vidéo tirés du film d'animation éponyme, actuellement en production et signé par Luc Besson.
Il s'agit là d'une licence non négligeable car le chantier cinématographique entrepris a toutes les raisons de faire parler de lui, avec des statistiques brutes de décoffrage. Bénéficiant du plus gros budget jamais mobilisé pour un film d'animation européen (85 millions de dollars) et d'une distribution assurée dans quarante pays, "Arthur et les Minimoys" verra probablement son succès favorisé par une campagne de lancement atteignant allégrement les 125 millions de dollars. Et pour ceux qui chercheraient encore un supplément d'âme dans ce paysage cinématographique dominé par le culte du chiffre, sachez que Madonna, Snoop Doggy Dog et David Bowie prêteront leurs voix à des personnages ou collaboreront à la bande originale.
Take Two et Tecmo nous en disent enfin un peu plus long sur Project Zero 3: The Tormented, troisième volet d'une saga plutôt bien accueillie par la critique. Il est vrai que le gameplay de la série a déjà fait ses preuves, reposant sur des bases aussi simples qu'efficaces, puisqu'un appareil photo est votre seul allié contre des fantômes belliqueux dans l'environnement confiné et lugubre de manoirs hantés.
Comme on ne change pas une équipe qui gagne, le jeu promet de nouvelles séquences de flip intense, avec un background psychologique toujours aussi torturé. Une malédiction – qu'il faudra évidemment enrayer – pèse sur les épaules de la frêle Rei Kurowasa, la nouvelle héroïne : poursuivie par des visions de son fiancé mort, elle surnage entre ses cauchemars et une réalité non moins lugubre aux contours flous. Et comme si ça ne suffisait pas, elle découvre un étrange tatouage qui grossit chaque jour un peu plus le long de son corps. On fera également connaissance avec Kei Amakura, un jeune journaliste qui aidera Rei à résoudre les énigmes de cette "Maison du Sommeil" inévitablement hantée. Les fans de la première heure auront d'autre part le plaisir de renouer avec Miku, dont l'histoire personnelle sera un peu plus dévoilée.
Le mois dernier, Runaway 2 faisait parler de lui grâce à une sympathique opération. Aujourd'hui, les nouvelles aventures de Brian et Gina se déclinent pour la première fois en une vidéo très entrainante qui donne vraiment envie de partir en vacances avec eux. Au programme une petite chansonnette du héros pour nous souhaiter de joyeuses fêtes, puis un aperçu en mouvement des différents lieux de cette aventure apparement toujours aussi orientée humour. Si de nouveaux personnages font leur apparition, les fans du permier épisode seront ravis de voir que certains personnages seront à nouveau de la partie.
En misant sur une sortie bien coordonnée et surtout extrêmement bien marketée, Microsoft s'attendait à un succès planétaire pour sa Xbox 360. Le résultat est plutôt inégal : aux États-Unis et en Europe la console a bien fonctionné, conformément aux prévisions. La rupture de stock orchestrée par le constructeur est survenue quelques jours après le lancement, et la bête est désormais l'objet de toute les convoitises.
Mais un petit pays d'irréductibles résiste à la suprématie américaine. En effet, si Microsoft n'a jamais rencontré de vif succès au pays du soleil levant, cette fois-ci les résultats sont plus que décevants, pires que ceux du lancement de la Xbox première génération en 2001.
Les premières vidéos in-game de la console next-gen de Nintendo commencent à fleurir sur la toile. Cette vidéo d'une minute montre en images le fonctionnement du pad de la Revolution, ainsi que quelques exemples d'application.
On passe en revue le pointeur, qui permet de déplacer des objets selon le mouvement donné, avec des exemples très simples mais aussi une courte séquence in-game de Super Mario Sunshine. La gyroscopie du pad est également illustrée par une animation en images de synthèses, tandis qu'on découvre comment manier de l'épee en toute simplicité... un indice pour le prochain Zelda ? Enfin, quelques images de F-Zero montrent qu'en positionnant le pad de manière horizontale, on obtiendrait presque un véritable objet à tout faire.
Cela fait tout de même deux ans que nous vous parlons régulièrement de Crashday. Aujourd'hui, il revient sur le devant de la scène avec enfin une date officielle : le 24 février 2006. Pour les retardataires, voici une petite séance de rappel.
Crashday reprend le concept assez simple de quelques hits du passé pour en faire un savoureux mélange. Prenez un zest de Burnout pour les cascades en série, une once de Trackmania pour les circuits étourdissants, une cuillère de Destruction Derby pour le côté stock-car. Saupoudrez de belles voitures et d'effets lumineux et vous obtenez une simulation arcade répondant au nom de Crashday. Avec un tel cocktail explosif, espérons que les ingrédients à la sauce Moon Byte Studios seront satisfaisants.
Les 7 modes de jeu – présentés ici – semblent ne proposer que peu d'alternatives réellement originales à la course basique, si ce n'est l'apparitions d'armes et de bombes à se passer sans qu'elle n'explose. Avant de touiller et de savourer, soyons prudents et dégustons plutôt ces quelques screenshots assez jolis.
Habitués à la PS2, les créateurs d'Onimusha et Devil May Cry se penchent maintenant sur la X360 avec Lost Planet. Voici donc un nouveau jeu d'action se déroulant dans un futur post-apocalyptique, avec des robots très énervés, des héros suffisamment culottés pour les défier et... beaucoup de neige. Le joueur traversera donc tout un tas de villes désertées et enneigées – faut-il y voir un lien de cause à effet ? Sûrement –, ainsi que de nombreux champs qui font "scrounch" quand on les foule.
Côté technique et gameplay, Capcom promet "un niveau de détail extraordinaire", des temps de chargement transparents, des environnements aux "conditions climatiques extrêmes" (tempêtes de neige, vents glaciaux, montagnes de glace, etc.), la conduite de véhicules armés, et de grosses batailles épiques en coopératif via le Xbox Live.
Mais pour tout ça, il va falloir être patient puisque Lost Planet est annoncé pour le dernier trimestre 2006, sur X360.
Attention mesdames et messieurs, dans un instant, ça va commencer. Branchez votre tapis de danse et souriez : vous écoutez votre CD. Dance Factory est en effet le seul jeu de danse de salon qui propose à tout un chacun de se déhancher sur la musique de son choix. Il suffit de glisser l'un de ses CDs favoris d'André Rieux pour amorcer une danse électrique sur son tapis de plastique, relié à sa PS2, tandis qu'à l'écran déferlent lumières et personnages en 3D.
Evidemment, la reconnaissance automatique des rythmes développé dans Dance Factory fera la différence entre le dernier Madonna et un bon vieux Lalanne. Du coup, on ne bouge pas son corps de la même manière, question de style. Différents modes de jeux permettent de favoriser l'endurance ou bien de créer une séance de fitness. Un compteur spécial indique en temps réel le nombre de calories brûlées. Et pour les popstars en herbe, le mode enregistrement vous permettra d'enregistrer une chorégraphie et de la proposer, en défi, à vos amis du dance-floor de salon.
D'autres petites idées du même genre sont à venir dans Dance Factory, qui sortira en exclusivité sur PS2 en avril 2006.
Pour Noël, Nokia offre gracieusement à tous les possesseurs de N-Gage et de téléphone Nokia séries 40 et 60 un mini-jeu, à télécharger par Wap ou directement sur le site de l'opération : The fight against bad Xmas gifts.
C'est très gentil de la part du constructeur finlandais, d'autant que le concept jeu est plutôt sympathique. Bon, comme l'indiquent les panonceaux entre deux niveaux, "ce n'est pas un vrai jeu N-Gage". Ce qui sous-entend que cette dernière peut faire mieux, et Nokia en profite pour dissimuler quelques publicités pour ses derniers titres phares, dont Pathway to Glory: Ikusa Island.
Mais revenons à nos moutons : dans The fight against bad Xmas gifts, le joueur accepte la lourde mission de donner un coup de main au Père Noël, trop vieux pour accomplir sa tâche annuelle. On ne parle pas des rennes, mais des cadeaux à récupérer à coups de boules de neige. Oui, ça ne paraît pas évident, mais on atteint finalement des scores assez élevés en très peu de temps. Le tout sur une musique de Noël entêtante à souhait. Heureusement, on peut couper le son.