
La maison (l'atelier) est agrandissable, et chaque nouvelle pièce est une nouvelle opportunité de rangements ou de réorganisation.

Les objets à réparer sont aléatoires : des instruments de musique, des jouets, du matériel de cuisine, des outils en tout genre. Le moindre bidule ou la moindre machine est personnalisable, d'ailleurs, grâce à une palette de couleurs, assez garnie dans le jeu, sur l'établi de peinture.

Les établis sont le point central de The Repair House, celui de base permet le montage et démontage des objets. Celui de peinture est là pour la personnalisation. Mais vous avez aussi un évier pour nettoyer les pièces achetées au rabais, ou encore la sableuse pour repartir sur des bases saines en termes de peinture. Plus vous vous développez, plus de nouveaux outils arrivent pour étoffer vos compétences.

Enfin, une grosse partie du jeu repose sur les pièces détachées, et là, quel régal de faire les vide-greniers, les ventes aux enchères, le moindre petit garage pour aller chiner des pièces, normalement chères, afin de la retaper et refaire complètement ce lecteur cassette qui dort dans un coin de votre atelier. Quel dommage d'ailleurs que ce jeu ne soit pas traduit en français, car des dizaines de mots sont à retenir pour vraiment optimiser l'achat des pièces.