Lundi, c'est le coup de cœur !
10 juil. 2017

Écrit par

Comme chaque lundi, un membre de la rédaction partage avec vous son coup de cœur sur l'annonce d'une nouveauté, sur la diffusion d'un trailer inédit, sur une sortie particulière ou un événement précis lié à l'actualité du jeu vidéo. Ça peut également être l'occasion pour lui de vous faire part d'un passage clé d'un jeu en cours de décorticage pour Gamatomic. Bref, aujourd'hui, voici le coup de cœur...

Alors que l'été pointe le bout de son nez, avec sa baisse d'annonce et le manque d'info qui va avec, je voulais partager un coup de cœur, un vrai, un de celui qui pourrait me faire acheter une machine alors que je n'en ai pas vraiment les moyens.



Oui, aujourd'hui je vous parle d'une licence nippone portée par les studios Level 5 et qui avait ravie une pléiade de joueur en 2010. Malgré son titre, Ni No Kuni 2 : Revenant Kingdom n'est pas une suite et vous proposera une histoire inédite en mode J-RPG.



Vous incarnerez le jeune prince Evan, fraîchement monté sur le trône du royaume de Ding Dong Dell et bien afféré aux problèmes internes du royaumes. En effet, si les chats et les souris semblent partager ce royaume de manière paisible, les chats ont souvent le privilège de la classe sociale. Il n'en fallait pas moins pour su'un coup d'état éclate, vous expatriant à l'occasion, pour que les souris reprennent le dessus. Heureusement, votre déchéance va vous mener à croiser de vaillant compagnon pour une aventure de vengeance et de reconquête très douce.



Et vous me direz qu'avec tout ça, je peux vous servir une bonne dose de miel et des licornes roses. Et bien oui ! Car sur le plan artistique, Level 5 continue son inspiration en pompant largement sur ghibli et pousse encore plus loin l'ambiance et l'univers créé. De quoi ravir tous les joueurs et pas seulement les plus petits. Et les premières vidéos de gameplay semblent confirmer une dynamisation des combats, de quoi enthousiasmer les plus septiques. Sans doute l'une de mes plus grandes attentes de l'année.

Partagez ce billet
Tribune libre