Après avoir testé les fabuleuses souris de chez Raptor-Gaming, plongeons-nous maintenant dans l'univers de leur casque avec le Raptor-Gaming H2. Un casque 5.1 pour Gamer ! Alors, que nous réserve ce casque ? Vaut-il vraiment de coût d'investir pour un casque 5.1 à la place d'un casque Stéréo ? Et serez-vous réellement isolé du monde extérieur et surtout de votre copine qui vous crie dessus pour venir à table ? Réponses tout de suite !
Après vous avoir proposé le test de deux souris de chez Raptor-Gaming, je vous propose de faire un tour chez l'un des plus réputés dans le domaine des périphériques de gamer, Razer, avec le test de l'un de leur ancien modèle, la Razer – Lachesis. Même si elle date de quelques années vaut-elle toujours le détour ?
Comme toujours, Razer nous offre une souris tape à l'œil ! Elle reste très sobre avec son noir profond mais qui a quand même un coté très classe avec ses courbes incurvées. On ne peut que tomber sous son charme. Et comme d'habitude, Razer affiche leur marque sur la souris grâce à une led sous la coque. Leur logo s'affiche comme un battement lent de cœur qui rend presque la Lachesis vivante. Heureusement pour les personnes horripilées par cet effet de style, c'est désactivable dans le logiciel fourni avec la souris. Sinon, côté matériel, la Lachesis est utilisable par les droitiers et les gauchers, possède un capteur laser allant jusqu'à 4000 dpi, deux gros boutons antidérapants, des patins en téflon, un ports USB en plaqué or (pour se la péter !) et un cordon anti-enchevêtrement léger d'environ deux mètres. Et vous me direz : "Les boutons, tu n'en parles pas ?! ". Mais si j'y arrive. Une peu de patience ! Alors... une molette rien de plus classique, quatre boutons au dessus de la souris dont le bon vieux clic-droit et gauche. Et pour finir, deux boutons de chaque coté de la souris. Soit un total de neuf boutons. Bon, après ce n'est pas très réaliste de dire neuf ! Sept serait plus juste car selon votre main "dominante", je pense qu'il vous sera très difficile d'utiliser les boutons situés sous votre auriculaire, sauf avec beaucoup d'entraînement. Mais il ne faut surtout pas compter dessus au début de votre utilisation de la Lachesis.
"Je m'appelle Alice, j'ai le Cœur rêveur, j'imagine en esquisse, un monde de bonheur..." (air connu). Vous connaissez certainement son histoire, maintes fois narrée. Née de l'imaginaire du révérend Charles Lutwidge Dodgson, un professeur de mathématiques d'Oxford, que le grand public connait sous le non de Lewis Carroll.
Aujourd'hui, je vais vous parler de la version publiée par Soleil US Comics. Il faut déjà applaudir la volonté des auteurs, Leah Moore et John Reppion, de respecter au plus près l'histoire contée par Lewis Carroll. N'omettant aucun détail de la trame principale, ils nous livrent des pans de dialogues tout droits tirés du livre. L'ensemble donne une forme très littéraire. Cette volonté se ressent aussi dans le dessin d'Awano. On perçoit également tout un travail de recherche autour des gravures de John Tenniel pour la mise en page et le character design.
Quel est le périphérique sans qui les ordinateurs ne seraient rien ? Eh oui ! Notre bonne vieille souris ! C'est notre amie la plus fidèle, elle nous suit partout et nous obéit au doigt et à l'œil... enfin presque ! Et comme pour les vraies souris, il y a différentes "races". Et aujourd'hui, on vous propose le test de deux souris de Gamer pour droitier du constructeur Raptor-Gaming. Elles portent les doux noms de Raptor-Gaming M3 et Raptor-Gaming M3 Platinum. Surtout avant de commencer à lire ce qui suit... éloignez votre souris de l'écran, elle risque d'être jalouse !
Vous n'avez peut être pas encore entendu parler d'Urban Factory, cette marque spécialisée dans les accessoires informatiques. Eh bien, réparons cette erreur ! Nous venons de recevoir un communiqué pour nous faire partager leurs dernières créations et évidement, nous souhaitons vous faire part de leurs nouveautés et les futurs accessoires qu'ils mettront en vente prochainement.
Tout d'abord, Urban Factory vous propose un clavier en silicone dit "ANTIBACTERIEN". Ils affirment que leur clavier est totalement étanche du moins au niveau des touches, lavable à l'eau et au savon... Il me faut des preuves moi ! C'est vrai qu'on sait tous que les claviers sont très sales à long terme et qu'un nettoyage s'impose de temps en temps ! L'autre avantage du clavier, c'est sa flexibilité qui permet de l'enrouler sur lui même et de permettre un transport simplifié. Et pour finir avec les caractéristiques mises en avant par Urban Factory, le Silicone Keyboard est très silencieux et permet une "sensation tactile rapide".
Alors, pour qui est destiné ce clavier ? Je pense aux personnes accrocs au ménage, qui mangent comme des "porcs" et en mettent plein sur leur clavier, qui voyagent beaucoup et qui sont très sensibles au moindre bruit !
Nous aurons peut être l'occasion de tester bientôt ce produit. Évidement, nous vous transmettrons les résultats de nos tests le plus rapidement possible. En attendant, vous trouverez plus d'informations sur le site officiel et pour le prix, il tourne aux alentours de 20€. Et si la gamme vous a plus, il existe aussi la souris et pavé numérique en silicone.
Scène de tous les jours : vous faites vos courses dans votre supermarché préféré et vous avez le malheur de traverser le rayon BD ! Là, vous les voyez en tête de gondole ces livres au titre évoquant une profession, un loisir ou un âge particulier. Vous les connaissez, vous avez espéré ne plus jamais en retrouver un emballé dans un papier cadeau a votre nom. Et là, parmi ces cibles connues un nouveau titre : Noob. Et le plus étrange, c'est que vous allez partir avec et qu'il sera pour vous !
Noob raconte les déboires des membres de la guilde éponyme dans leur quête d'expérience sur horizon 1.1, LE jeu vidéo en ligne à la mode. Nous suivons donc Arthéon, le patient et pédagogue chef de guilde, Omega Zell l'assassin misogyne, arrogant et égocentrique, Gaea l'invocatrice vénale et manipulatrice, et enfin Sparadrap le prêtre, caricature du Kévin gaffeur mais touchant. Entrainements, chasses au trésor, player killer, quêtes et emplettes, voici les thèmes abordés par les différentes histoires toujours drôles qui parsèment ce premier tome qui vous fera passer un agréable moment.
42 Agents Intergalactiques est une parenthèse aux aventures de Tessa - Agent Intergalactique, une série de science-fiction française qui rivalise sans peine avec Sillage ou Aquablue. Elle retrace la destinée de ceux qui, avant la jeune Terrienne, ont été chargés d'assurer l'ordre au sein de la Galaxie et d'empêcher l'avènement du Néant. Le tome 2, Ari, raconte une enquête menée par le redoutable agent Kaa'Lahan nommé - vous l'aurez deviné - Ari. Et ce spin-off offre la possibilité de mettre en scène des histoires plus adultes et plus sombres que dans la série originelle.
En effet, Ari est un bad boy. Surnommé "Le Casseur", c'est davantage un guerrier qu'un diplomate. Il est envoyé par le Consulat Galactique pour enquêter sur d'étranges accidents survenus sur un site archéologique où sont effectués des fouilles sur une ancienne race de robots, les Viéjecillos. Et c'est l'occasion d'en apprendre un peu plus sur son passé et sur la menace qui plane sur la Galaxie. D'ailleurs, le scénario de Jean-Marc Lainé est assez captivant et ménage suffisamment de suspense pour vous tenir en haleine jusqu'à la dernière page. Notez que ce tome constitue une histoire indépendante parfaitement autonome. Cependant, même si les allusions à Tessa ne sont que peu présentes, il est quand même recommandé de lire les volumes précédents ne serait-ce que pour avoir une vue d'ensemble de l'univers et surtout de saisir tous les clins d'œil et références disséminés dans les différentes planches. Au niveau des dessins, Stéphane Louis réalise des prouesses. Son style est bien marqué : découpage des scènes digne d'un blockbuster hollywoodien, effets rythmant parfaitement les phases d'action, et souci du détail. Mais tout cela ne serait rien sans ce superbe trait de crayon qui réussit la symbiose parfaite entre les courants manga japonais et comics américain. Les couleurs signées Sébastien Lamirand ne sont pas en reste et parachèvent ce magnifique rendu visuel. A conseiller à tout fan de science-fiction !
Ari, le deuxième tome de la série 42 Agents Intergalactiques éditée chez Soleil, est d'ores et déjà disponible au tarif conseillé de 12,90 €, sur internet (Fnac, Amazon,…) et dans tous les magasins spécialisés.
World of Warcraft entame avec ce septième tome - Sur la route de Theramore - son troisième cycle. Après avoir terrassé le Dragon Noir, il est temps pour le roi Varian et le prince Anduin de retourner là où leur peuple les attend. Accompagnés de leurs fidèles compagnons Broll et Valeera, ils prennent donc la route pour l'île de Theramore afin d'enrayer avant qu'il ne soit trop tard les sinistres desseins de l'usurpateur du trône. Mais pendant ce temps, près de la péninsule des flammes infernales, la sombre Stasia Ombrechue est parvenu à localiser Med'An, l'enfant hybride humain-orc dont parle une ancienne prophétie, et qui pourrait bien modifier à jamais la face du monde...
Walter & Louise Simonson, Jon Buran et Mike Boden sont une nouvelle fois aux commandes. Et il faut bien avouer que si le scénario de ce nouveau cycle s'annonce intéressant, la narration a par contre un peu de mal à suivre. Le couple Simonson a peut-être voulu en faire un peu trop dans ce tome. Ce dernier comporte ainsi beaucoup d'éléments et de personnages principaux différents, mais, puisque le récit passe rapidement de l'un à l'autre, il devient difficile de savoir où se dirige vraiment l'intrigue. Espérons que tout devienne un peu plus clair dans le prochain album. Par ailleurs, les dessins, même s'ils restent dans l'esprit de World of Warcraft, sont assez inégaux. Certaines planches sont vraiment brouillonnes, voire même à la limite du bâclage, avec des traits vraiment grossiers et des couleurs bien ternes. Dommage que Ludo Lullabi, le dessinateur du diptyque World of Warcraft : Porte-cendres, n'ait pas été appelé à la rescousse pour ce troisième cycle.
Sur la route de Theramore, le septième tome de la série World of Warcraft éditée chez Soleil, est d'ores et déjà disponible au tarif conseillé de 12,90 €, sur internet (Fnac, Amazon,…) et dans tous les magasins spécialisés.
L'épopée de Gilgamesh est à l'origine un récit légendaire de l'ancienne Mésopotamie. Elle se décompose en 11 tablettes gravées au XVIIIème siècle avant Jésus-Christ, et partiellement retrouvées. Elle fait donc partie des œuvres les plus anciennes de l'Humanité et retrace, comme le titre l'indique, les exploits de Gilgamesh. A la mort de son père Ludalbanga, roi d'Uruk, Gilgamesh est trop jeune pour monter sur le trône et est contraint à l'exil. Il est recueilli comme un fils par Agga, roi de la cité voisine de Kish. Arrivé à l'âge adulte et après des batailles qui lui ont permis de prouver ses excellentes qualités de combattant sous la bannière de Kish, Gilgamesh va regagner la cité d'Uruk pour réclamer ses droits et pour y régner enfin !
Pym est un jeune Sacrieur aux origines mystérieuses. Garnement incorrigible, il est inscrit à l'école de magie Grilembore. Il va être entraîné malgré lui dans une aventure aussi périlleuse qu'étonnante. En effet, Pym découvrira un complot ourdi par des créatures démoniaques : elles manipulent le temps pour mieux soumettre le monde à leurs sinistres desseins.
Dofus Arena est une publication de niche calibrée pour les joueurs de Dofus. Bien sûr, même sans connaitre cet univers, l'histoire reste compréhensible. Par contre, si vous ne maitrisez pas quelques notions de jeux d'aventure au tour par tour, de jeux cartes, voire de jeux de rôle, vous risquez d'être vite perdu. Tout n'est que référence, et même si quelques définitions parcourent çà et là le récit, le lecteur lambda passera à coté de beaucoup de subtilités. D'un point de vue du récit, l'histoire est pourtant plaisante, et contrairement au premier, ce tome gagne en compréhension avec la présentation claire des différentes factions. Le dessin quant à lui est épuré, tout en étant dynamique.
Dofus Arena ne nous ment pas ! De l'action, de l'humour, de l'héroïsme... Tout ce qui fait le style Dofus est présent, car calibré pour ces joueurs. Pour les autres, soyons honnêtes, ils risquent d'être hermétiques à la plupart des références.
Reconnaissons le, Ankama a su faire de son jeu phare une BD plaisante, ce qui est en soit déjà un exploit (je ne vous inviterai pas à lire tous les ratages dans ce domaine). Par contre, même si ce volume s'en sort avec les honneurs, il reste loin derrière Dragon Quest, qui avait réussi en son temps à se détacher suffisamment de sa licence pour offrir une histoire originale et épique. C'est tout ce que je souhaite au duo Devos-Bretzner : réussir à faire sortir Pym de sa niche pour qu'il puisse conquérir le grand public.
Dofus-Arena - Tome 2 : L'heure des Démons est disponible sur internet (Ankama Shop) et en magasins spécialisés aux alentours de 7 €.