Hearts of Iron, premier du nom, n'avait pas laissé un souvenir impérissable. Hybride n'ayant jamais su choisir entre un Diplomatie et un wargame hexagonal au tout par tour, il n'avait rencontré qu'un succès d'estime, certainement plus pour son mode réseau que pour son solo soporifique. La pugnacité pouvant faire des merveilles, Paradox Entertainement prépare une suite à son oeuvre, nommé Hearts of Iron 2 pour ne pas troubler (voire perdre) sa base de fans.
Encore un film d'animation adapté en jeu vidéo. C'est la saison qui veut ça. Après Gang de Requins et Les Indestructibles voici maintenant The Polar Express. Tiré du long métrage avec un Tom Hanks cyber (le vrai a un rythme de tournage déjà éffreiné), cette histoire d'enfants qui doutent de l'existence du Père Noël sera déclinée sur GC, PS2, GBA et PC à la fin novembre.
Les caractéristiques principales du jeu et plus d'images juste après le lien
Après quelques minutes passées à jouer à la toute récente démo de Prince of Persia: Warrior Within, les nouvelles aventures du prince en babouches portent a priori bien leur nom : c'est de la baston, beaucoup de bagarre et un zeste de castagne. Où sont passés les couloirs piégés, les fosses qu'on contourne en défiant les lois de la physique ?
Ce que laissaient entrevoir les screens a l'air de se confirmer dans cette démo : couleurs plus sombres, images plus dures (une tête coupée par ici, un abdomen évicéré par là), même le Prince a l'air... méchant.
Le style visuel change, mais le feeling est lui toujours le même avec de multiples combos qu'il faut enchaîner tout en s'accomodant d'une caméra aux initiatives souvent malheureuses. Si Prince of Persia: Warrior Within semble avoir troqué le charme désuet de l'orient pour un monde sombre et violent où notre héros joue à l'apprenti boucher, le cocktail reste toujours techniquement efficace. Warrior Within semble plus évoluer que révolutionner, mais seule la version finale du jeu nous dira si les changements qu'on soupçonne sont profonds ou non, et donc si certains des fans se retrouveront dans ce nouvel opus.
Caméra Café, la série regardée par quelques millions d'inconscients qui se replongent dans l'univers du travail en rentrant chez eux va faire l'objet d'une adaptation en jeu vidéo, en attendant le film début 2005.
Ce sont Indie Games Productions et Calt qui seront en charge de la réalisation du jeu, en étroite collaboration avec les auteurs de la série télévisée tandis que Nobilis s'occupera de l'édition, du marketing et de la distribution du jeu. On a donc toutes les chances de retrouver "l'esprit" Caméra Café à travers les personnages de la série à incarner.
Ils nous avaient déjà fait le coup de la BD et maintenant arrive le jeu. Franchement, on ne voit pas très bien ce que ça pourra donner mis à part que ça ne sera pas un FPS. En fait, ça sent un brin l'opération marketing. Et le dirigeant d'iCalt de rajouter : "Le développement du jeu vidéo Caméra Café apparaît comme une évolution cohérente de l'univers avec la série, la bande dessinée, le CD et le film."
Caméra Café : le jeu sera disponible sur PC en février 2005.
On avait bien accroché à la simulation d'hommes en kaki avec Ghost Recon mais on doit aussi avouer que les graphismes n'étaient pas sensationnels, loin s'en faut. On vous mitraille une rafale de screenshots de Ghost Recon 2. Les bonhommes sont toujours kakis (vous me direz, ce ne serait pas malin de se balader en pyjama rose dans un environnement hostile, et vous auriez raison.), et les graphismes ne sont toujours pas sensationnels. Au final, peu importe : le gameplay de Ghost Recon (1er du nom) et des ses suites était vraiment sympathique. On y prenait le commandement de différentes escouades pour mener à bien, on s'en doute, des missions assez variées et tactiquement différentes pour que l'on ait envie de remettre ça avec les extensions : Ghost Recon à la plage : Ghost Recon: Desert Siege, Ghost Recon aime se cacher dans les arbres :Ghost Recon: Jungle Storm, on en passe et des meilleures.
Allez on se planque et on ouvre bien grand ses mirettes.
Le PDG de Wanadoo, tout auréolé de son exclusivité, me glisse dans l'oreillette que la démo de Prince of Persia: Warrior Within est disponible ici.
Toi qui rêve des milles et une nuits et fait tous tes cours d'aérobic en pantalon bouffant, toi qui fait la cuisine avec un cimeterre et court sur les murs de ton appartement, tu vas enfin pouvoir tâter du nouvel opus des aventures du plus oriental des héros du jeux vidéo, moyennant la modique somme de 470Mo.
Après la bonne nouvelle, voici l'heure des promesses : dès qu'on a rapatrié tous les petits octets, et qu'on a arrêté de pester contre la caméra, on vous donnera ici même notre avis sur la bête, avec des vraies images prises par nos petits doigts boudinés et sclérosés par les clics frénétiques.
Le mélange stratégie temps réel et jeu de rôle semble avoir un certain succès puisqu'on apprend aujourd'hui que SpellForce, le click'n fight de Phenomic va se voir doté d'un second add-on. Intitulée SpellForce: Shadow of the Phoenix, cette extension nous fera affronter un démon nécromancien mégalo pendant une bonne quarantaine d'heures sur treize cartes inédites et apportera son lot de nouveautés côté sorts et objets. Une séance de rattrapage devrait également être offerte à ceux ayant ratés le titre original, une version gold regroupant SpellForce et Spellforce: The Breath of Winter étant en effet prévue fin octobre.
Alors que Commandos 2 représente encore pour beaucoup un must dans la catégorie des jeux de stratégie tactique (option puzzle), on s'inquiètait de l'orientation beaucoup plus action du troisième épisode de la série. Aujourd'hui les fans en sont convaincus, quelque chose a changé chez Pyro Studios puisque nos espagnols nous préparent le retour de la série sous la forme d'un FPS baptisé Commandos Strike Force. Si les quelques screens disponibles démontrent que les graphistes de Pyro sont toujours excellents, on reste plus dubitatif sur cette nouvelle orientation, un certain Command & Conquer: Renegade ayant déjà démontré que les publics cibles n'étaient pas vraiment les mêmes.
Après l'annulation du projet Van Buren et la reprise des droits de Fallout 3 par Bethesda, on ne savait plus trop ce qui se passait chez Interplay, au coeur d'une crise financière et humaine. Un article intéressant chez No Mutants Allowed, tiré du rapport trimestriel de la société, retrace la chronologie des faits depuis mai dernier.
En somme, Interplay a vendu à Bethesda non seulement les droits de Fallout 3, mais aussi ceux d'éventuels Fallout 4 et 5, tout en conservant les droits sur un possible Fallout Online. Et la companie se trouve maintenant dans de nouveaux bureaux à Irvine, en Californie, et dispose dans ces bureaux de 8 personnes travaillant "activement" (sur les 20 qui se trouvent sur la liste totale des employés). Rien n'indique par contre qu'une seule de ces personnes soit en train de travailler sur un jeu. Enfin, la conclusion de tout ça, c'est qu'on a vraiment l'impression qu'Interplay est une société post-apocalyptique.
Chose promise, chose due, voilà quelque screens tous chauds de GTR. Voilà. Pardon ? "Et alors ?" Ah. OK, deux mots, mais rapidement...
GTR cible effectivement le hard-core driver. Est-il en cela plus élitiste que TOCA ? Il faudra attendre le mode full-realistic pour le savoir, car la démo ne le propose pas. Mais il faut déjà avoir un certain doigté pour faire un tour sans aller dans les décors. Décors qui ne sont d'ailleurs pas fantastiques, tout comme les voitures dont le seul modèle disponible est mignon mais sans plus. La gestion des dégats est bien présente, mais assez primaire, en tout cas visuellement parlant. L'IA reste quant à elle assez sage, même quand on coche "agressive". Elle doit être au courant des prix des pièces détachées de ce genre de voiture. Vous aurez donc compris que pour le stock-car, faudra aller voir ailleurs.
Bref, bilan réservé, à confirmer avec une version plus complète du jeu, mais une chose est sûre, GTR on l'achètera pour l'immersion, pas pour le fun.
NB : Encore une démo qui installe la protection starforce. Super.