Dossier | Bigpoint marque des points dans le Free to Play
26 févr. 2010

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Vous avez forcément reconnu son logo, ses jeux phares comme Dark Orbit ou War of Titans sur différents endroits stratégiques du net. Plateformes de diffusion vidéo, confrères vidéoludiques ou audiovisuels en sont les supports. A l'issue de cette présentation aux accents allemands, la nouvelle perle du « jouer gratis » s'appelle Poisonville, un GTA-Like prometteur et plein d'avenir. Bigpoint voit très grand et quand vous allez lire la suite, vous comprendrez pourquoi il le vaut bien.

Enorme : adj, démesuré, très gros.

Pour le coup, cet éditeur/développeur n'usurpe ni son nom, ni sa place dans le monde du Free to Play. Ceux qui ne travaillent pas au boulot et qui préfèrent flâner sur le bouquin des visages où autres jeux en ligne doivent me comprendre avec une certaine indignation, tandis que certains demandent explication. Le Free to Play est le moyen de se détendre en ligne en jouant via son navigateur web et ceci gratuitement sur des titres qui restent respectables tant sur le plan graphique que sur le gameplay (tout en rappelant que c'est gratuit, ne soyons pas trop exigeant.). Comme je sais que vous êtes friands de chiffre, en voilà qui vont vous faire tourner la tête : cent millions de joueurs enregistrés, deux cents cinquante milles personnes qui s'abonnent chaque mois, plus de cinquante cinq jeux qui promettent monts et merveilles sur tous les genres en plus d'être traduits en trente cinq langues, rien que ça. Afin de pérenniser son action sur le domaine des adultes consentants, son nouveau titre Poisonville risque de chambouler les serveurs.

Un bac à sable empoisonné

Propre pour un browser-games, Poisonville acceuille jusqu' à cinq mille joueurs

Dans l'univers impitoyable des « mondes ouverts », seul le roi Grand Theft Auto a su marquer les esprits comme le fer marque le cheval. Qu'à cela ne tienne, autant le faire sur PC de manière gratuite et hébergée ! Et c'est là que force l'admiration de nos amis d'outre-Rhin, puisqu'en deux années de développement (et ce n'est pas fini) Poisonville vous permet de vivre dans une ville exponentielle aux allures de New York City, où les gangs, deals et meurtres à tout-va sont légions. Enfin pas tout à fait puisque votre « karma » joue un rôle essentiel. Si vous shootez de pauvres innocents, votre jauge baisse et personne ne veut vous donner du travail de truand. De plus, la police vous recherchera activement pour vous faire la peau. Pas cool la vie de méchant. Tellement pas cool que vous faire afficher en direct sur vos réseaux sociaux peut devenir monnaie courante. Il va falloir assurer. Quoiqu'il en soit, certains bugs de collisions et de déplacements sont arrivés à l'improviste durant cette session « hands off » plus qu'intéressante… Il fallait bien un élément qui cloche !
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Tribune libre