Black sort de l'ombre
01 févr. 2006

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Ca y est, la machine de guerre Black est lancée. Après de timides screens et quelques trailers en deux ans, c'est avec pas moins de deux galeries que le titre nous revient à maintenant un mois de sa sortie : la première, composée d'images in-game, que vous pourrez admirer ci-dessous, et la seconde dédiée à l'arsenal dont vous disposerez pour fragger du terroriste. Du terroriste à l'ancienne d'ailleurs, puisque vos ennemis seront originaires d'Europe de l'Est. Dur de digérer la guerre froide, n'est-ce pas?

Si la première galerie ne fait qu'augmenter notre impatience, la seconde brille par son classicisme : on y retrouve les armes de base de n'importe quel FPS, du pistolet mitrailleur israélien Uzi au fusil mitrailleur russe AK-47 en passant par l'allemand MP-5... Rien de nouveau sous le soleil, donc, mais connaissant Electronic Arts, on devrait avoir droit à quelques surprises assez rapidement. Car on nous a laissé entendre que Black est LA sortie de ce début d'année pour l'éditeur, qui compte bien poursuivre le succès des titres signés par Criterion, initié avec la série des Burnout. Le jeu débarquant dans environ un mois, EA a tout le temps de faire monter la sauce en distillant les informations. Et vu ce que promet le titre, gageons que les joueurs seront pendus aux annonces.

En attendant, on peut jouer le jeu et partir à la recherche d'indices en regardant plus attentivement la première série d'images. On y retrouve déjà des armes qui ne font pas partie de la galerie concoctée par Electronic Arts, comme ce fusil de snipe en plein reload, ou le fusil-mitrailleur qu'on retrouve sur les deux premières images. Autre fait annoncé par le trailer diffusé à l'E3 et confirmé depuis, l'environnement sera effectivement sérieusement endommageable, et joliment qui plus est, comme le prouvent les effets du MP-5 sur cette pauvre colonne. Dernière déduction, les images qu'on nous donne à voir sont vraisemblablement issues de la version Xbox, les possesseurs de PS2 auront sans doute droit à du moins beau. Rendez-vous fin février pour vérifier ce dernier point.

Tribune libre