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Job Island : Jouer plus pour gagner plus !

Venez donc faire un tour sur Job Island, le voyage vous est offert. Ou plutôt vous rembourserez plus tard à la sueur de votre front car ici le travail ne manque pas. D'ailleurs, c'est le moment de faire vos preuves car il y a grand danger. Pour sortir de cette situation, une seule solution : travailler et travailler encore.

Sortie de route pour Destroy All Humans

Après un épisode sur Wii assez moyen, la série des Destroy All Humans ! est de retour sur la console de Microsoft. En route pour Paname ! met toujours en scène Crypto un extraterrestre qui avait pour mission de détruire tous les humains, mais qui ne semble pas trop prendre cette dernière au sérieux. Un peu comme la série des Destroy All Humans qui s'amuse à balader les joueurs depuis quelques temps. Dommage car elle avait du potentiel.

Retour mitigé pour Silent Hill Homecoming

Une certaine logique préside normalement le monde des jeux vidéo. Lorsqu'une nouvelle génération prend place, la fournée de titre doit être époustouflante, tant sur le plan graphique que sur la profondeur de l'intrigue (renouveau oblige). Silent Hill : Homecoming décide donc de ne pas respecter ses règles en alternant le bon et le médiocre, pas toujours de manière très habile ma foi. Je n'oublie pas les fans de la saga qui peuvent jouer des castagnettes devant le résultat final. Comme quoi, il fait peur parfois.

NecroVisioN, le FPS néo-rétro

Les FPS solo sortis ces derniers mois ont globalement délaissé l'héritage "bourrin" de leurs ancêtres Doom, Duke Nukem 3D ou Quake. Ainsi, Crytek a surtout voulu offrir une vitrine technologique en développant Crysis et Crysis Warhead. Ubisoft a tenté de lui emboîter le pas avec Far Cry 2. De son côté, GSC Gameworld a proposé une ouverture vers les RPG avec S.T.A.L.K.E.R. et sa préquelle tandis que Infinity Ward privilégiait l'immersion grand spectacle pour Call of Duty 4. Pourtant, The Farm 51 a décidé de revenir aux sources en proposant, avec NecroVisioN, de l'action pure et dure qui n'est pas sans rappeler le gameplay des pionniers du genre.

Resident Evil 5 se fond dans la masse

Quatre ans après le monumental Resident Evil 4, Capcom dévoile enfin le dernier né de sa célèbre saga horrifique. Une saga qui depuis cet épisode n'a plus grand chose à voir avec le survival horror des débuts. De l'action, encore de l'action, toujours de l'action : Resident Evil 5 fait plus que jamais dans la surenchère visuelle. Le gameplay, lui, accuse terriblement le poids des années comme notre preview l'avait laissée entendre. Une combinaison bancale qui peut évidemment rebuter. Reste à voir dans tout ça si la trame scénaristique est à la hauteur des attentes... Le verdict dans les lignes qui suivent.

50 Cent va faire couler du sang

50 Cent et son gang du G-Unit prennent le branle-bas de combat pour leur seconde escapade dans un jeu d'action sur-vitaminé aux allures de superproductions hollywoodiennes. Pour sa seconde pérégrination, après un 50 Cent : Bulletproof plus que moyen, Fifty s'offre le Moyen-Oient comme théâtre d'un spectacle sanglant comme le titre Blood of the Sand le laisse présager. Aussi bon sur scène que sur le champ de bataille ? A Fifty de vous le prouver dans ce test !

Tribune libre