Tests

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Batman Begins : une souris pas si chauve

Tiens ? Encore une nouvelle adaptation qui sort conjointement avec le film dont elle est le pendant vidéoludique. Alors même qu'on a toujours en mémoire un Catwoman plutôt moyen, pour ne pas dire médiocre, Electronic Arts récidive avec ce Batman Begins multi-plateformes dont on n'espérait donc pas grand chose. La surprise en est d'autant plus agréable.

Lego Star Wars

A l'occasion de la sortie de l'Episode III : La revanche des Siths, Georges Lucas réunit deux univers qui ont bercé notre enfance (Star Wars et Lego) dans un jeu d'aventure retraçant les épisodes I à III de la célèbre saga. Simple coup de pub ou réelle bonne idée ?

Mario Power Tennis, pour transpirer des mains

Comme c'est de plus en plus souvent le cas pour leurs derniers jeux, les personnages de Mario et ses amis sont utilisés par divers studios sous le couvert de Big N. Pour Mario Power Tennis, c'est Camelot qui s'y colle : on prend les persos les plus célèbres du royaume des champis, l'univers du plombier et de ses aventures et les voilà tous réunis à faire tourner des balles jaunes. Facile, en fait, de faire des jeux vidéo.

Glory Days n'est pas si glorieux

Il existe des jeux qui n'ont presque besoin de rien pour exister et passionner le joueur. Des concepts comme Pong, Tetris ou encore Space Invaders, les exemples parfaits du jeu simple et addictif. Si Glory Days a été conçu par un seul homme, Denis Studio, il n'est pas de cette trempe. Un jeu qui a du mal à accrocher le joueur, par son concept qui souffre d'originalité et un gameplay trop peu aboutit. Tous les détails dans le test.

Les (juste un peu) Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire

Les Désastreuses Aventures des Orphelins Baudelaire racontent l'histoire de trois jeunes orphelins confiés à leur oncle, acteur de seconde classe convoitant leur lourd héritage. Destiné aux jeunes joueurs, ce titre leur plaira par son ambiance et ses bonnes idées, mettant en scène des personnages originaux et complémentaires. Cependant la variabilité de la difficulté est déroutante, gâchant un peu le plaisir de jeu et risquant de désespérer les plus jeunes d'arriver un jour jusqu'à l'acte final.

Le Tiers Age, deux tiers de frustration

Electronic Arts n'a pas négocié les droits de la célèbre trilogie de Tolkien pour rien, et après deux Beat them all assez réussis (Les deux Tours et Le Retour du Roi), c'est un RPG au tour par tour qui pointe son nez, Le Tiers Age. Malgrè un style de jeu assez différent donc, vous vous dites "Et nous voilà repartis sur les traces de Frondon et de son anneau de malheur...". Oui, tout le monde aurait eu le même réflexe, et aurait fait tout faux.

Tribune libre